1.Quels sentiments le poète éprouvé t-il? Ces sentiments varient-ils au cours du poème? 2.À qui le poète s'adresse t-il? 3.Dans quel lieu le poète observe-t-il la jeune femme?Quelle est la figure de style utilisée au vers 1? Ce lieu semble-t-il agréable ?
1. Le poète éprouve des sentiments variés dans ce poème. Tout d'abord, il éprouve une certaine attirance envers cette passante dans la 1ère strophe : "une femme passa". Puis, il est envouté par son regard dans la seconde et la 3ème strophe : "dans son oeil", "le regard". Enfin, il éprouve de la déception car la passante disparaît : "fugitive beauté", "j'ignore où tu fuis".
2. Le poète s'adresse à la passante en utilisant la 2e personne du singulier : "te", "tu", "toi".
3. Le poète observe la jeune femme dans une rue sur la terrasse d'un bar ("je buvais"). Il utilise une personnification en attribuant à une chose inanimée, la "rue", un comportement humain, le fait de hurler. Cette personnification est renforcée par l'adjectif "assourdissante" et elle rend donc désagréable le bruit entendu dans la rue.
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Bonjour !
1. Le poète éprouve des sentiments variés dans ce poème. Tout d'abord, il éprouve une certaine attirance envers cette passante dans la 1ère strophe : "une femme passa". Puis, il est envouté par son regard dans la seconde et la 3ème strophe : "dans son oeil", "le regard". Enfin, il éprouve de la déception car la passante disparaît : "fugitive beauté", "j'ignore où tu fuis".
2. Le poète s'adresse à la passante en utilisant la 2e personne du singulier : "te", "tu", "toi".
3. Le poète observe la jeune femme dans une rue sur la terrasse d'un bar ("je buvais"). Il utilise une personnification en attribuant à une chose inanimée, la "rue", un comportement humain, le fait de hurler. Cette personnification est renforcée par l'adjectif "assourdissante" et elle rend donc désagréable le bruit entendu dans la rue.