3 )Connaître les niveaux ou registres de langue une giffle Lisez le texte, puis répondez aux questions. Un détective mène une enquête, en compagnie d'une jeune femme, Belita. Une partie de la pièce était aménagée en atelier de cordonnerie. Je m'approchai de l'établi […..]. Outils, morceaux de cuir, godasses en train. Et après ? Je haussai les épaules: Tirons-nous, dis-je. Nous nous gelons pour des - haricots. Nous retournâmes chez Belita. Je m'ébrouai : - Il y a de quoi attraper la crève, dans ce hangar. Je boirais bien quelque chose de chaud. Et vous ? - Je peux refaire du jus. - Bonne idée. Elle versa de l'eau dans une casserole. Léo MALET, Brouillard au pont de Tolbiac, Fleuve noir, 1994. a. Relevez un exemple de niveau de langue soutenu, deux autres de niveau familier. b. Le narrateur et la jeune femme sont maintenant des personnes qui tiennent à s'exprimer toujours de manière soignée. Récrivez le texte.
Un enquêteur conduisait une enquête en compagnie de Belita, une jeune dame. Une partie de la pièce était aménagée en atelier de cordonnerie. En approchant de l'établi, j'observai attentivement des outils, des morceaux de cuir et des chaussures en cours de réparation. N'identifiant pas de pistes significatives, je suggérerais, avec diplomatie, "Il serait peut-être préférable de quitter cet endroit, car nous souffrons du froid sans raison apparente." Nous regagnâmes le domicile de Belita, où je fais partie de mon ressenti, "Il fait particulièrement frisquet dans ce hangar. Une boisson chaude serait des plus bienvenues. Et vous ?" Belita propose courtoisement : "Je pourrais préparer une boisson chaude, si cela vous convient."
1 votes Thanks 1
douaeliassad
désolée je voulais faire encore plus d'étoiles
Lista de comentários
Réponse:
langage soutenu
- Je m'approchai de l'établi
langage familier
- Nous nous gelons
- Je peux refaire du jus.
manière soutenue
Un enquêteur conduisait une enquête en compagnie de Belita, une jeune dame. Une partie de la pièce était aménagée en atelier de cordonnerie. En approchant de l'établi, j'observai attentivement des outils, des morceaux de cuir et des chaussures en cours de réparation. N'identifiant pas de pistes significatives, je suggérerais, avec diplomatie, "Il serait peut-être préférable de quitter cet endroit, car nous souffrons du froid sans raison apparente." Nous regagnâmes le domicile de Belita, où je fais partie de mon ressenti, "Il fait particulièrement frisquet dans ce hangar. Une boisson chaude serait des plus bienvenues. Et vous ?" Belita propose courtoisement : "Je pourrais préparer une boisson chaude, si cela vous convient."