Je dois écrire une lettre à ma famille car je suis à la guerre de 14-18, et nous devons évoqué notre arrivée dans la tranchée. Nous devons décrire la tranchée et les poilus que le soldat découvre en suivant le parcours qu'il effectue.
J'aimerai bien de l'aide car je sais pas trop quoi évoqué et je n'ai pas d'inspirations! Merci à ceux qui m'aides..
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nausicaawilde
J'ai fait ce devoir en 3ème :P Je ne sais pas si vous étudiez un livre avec mais nous on a étudié "A l'ouest rien de nouveau" d'Erich Maria Remarque. Bref, du coup pour t'aider dans ton devoir, il faut déjà que tu respectes les codes de la lettre :
Lundi 4 janvier 1915
Chère Maman,
Je suis arrivé il y a plusieurs mois sur le front et je suis horrifié. Le ciel est gris, le paysage morne ; il est dépourvu de végétation et des cadavres, par centaine, jonchent le sol (etc) (il faut que tu décrives le lieu qui l'entoure pour renforcer l'aspect horrible de la guerre). Chaque jour, se ressemble ; le temps semble s'étirer à l'infini, les secondes deviennent des heures, et les heures une éternité. L'ennui et la solitude sont devenus mes meilleurs compagnons. Parfois, pour les tromper, je joue aux cartes ou fume du tabac. J'essaye d'oublier la Mort qui est, omniprésente, mais je suis vite ramené à la réalité lorsque j'entends les hurlements stridents des soldats sur le front. (= essaye de parler de la mort le plus possible) Ici, l'hygiène est déplorable : les rats grouillent de partout, nous contemplent de leurs yeux rouges infectes. Se laver est quasi impossible, et se raser est devenu un luxe. Si tu me voyais, tu ne me reconnaîtrais pas : j'ai une barbe aussi longue que celle de Merlin ! Les paillasses sur lesquelles nous couchons sont inconfortables ; elles grattent et sont humides. De plus, nous devons nous serrer pour que tout le monde y trouve son compte. Néanmoins, il y a un point positif ; nous ne manquons pas de nourriture ! Même si celle-ci ne vaut pas le bon ragoût que tu nous cuisinais à l'époque, j'arrive à la digérer et, parfois, nous pouvons nous resservir. (ajoute plus de descriptions) Maman... Vois-tu, j'ai peur. Je n'ai que vingt-trois ans et je vais peut-être mourir, sans aucune raison valable. Au fond, au nom de qui, de quoi, devrions nous nous sacrifier ? Chaque jour, je vois des hommes mourir, du sang couler, des membres voler, et je me dis "un jour, je serai l'un de ces soldats morts, ensanglantés". J'aimerais te revoir, maman. Te serrer dans mes bras, te dire que je t'aime. Je regrette affreusement de ne pas te l'avoir dit plus souvent. Parfois, je me demande ce que cela ferait si la guerre s'arrêtait et si je pouvais enfin rentrer chez nous, et je me rends compte que je ne pourrais plus jamais vivre comme avant : ma vie restera brisée pour toujours, c'est inéluctable. Comment vivre après avoir tué et vu tant d'horreurs ? Je suis épuisé de devoir me traîner dans la boue chaque jour, épuisé d'avoir si froid, épuisé de devoir vivre... Survivre... En vain...
Je t'aime...
Michel
--> N'oublie surtout pas d'utiliser le registre pathétique !! --> Pense à ajouter plus de descriptions
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Lundi 4 janvier 1915
Chère Maman,
Je suis arrivé il y a plusieurs mois sur le front et je suis horrifié. Le ciel est gris, le paysage morne ; il est dépourvu de végétation et des cadavres, par centaine, jonchent le sol (etc) (il faut que tu décrives le lieu qui l'entoure pour renforcer l'aspect horrible de la guerre).
Chaque jour, se ressemble ; le temps semble s'étirer à l'infini, les secondes deviennent des heures, et les heures une éternité. L'ennui et la solitude sont devenus mes meilleurs compagnons. Parfois, pour les tromper, je joue aux cartes ou fume du tabac. J'essaye d'oublier la Mort qui est, omniprésente, mais je suis vite ramené à la réalité lorsque j'entends les hurlements stridents des soldats sur le front.
(= essaye de parler de la mort le plus possible)
Ici, l'hygiène est déplorable : les rats grouillent de partout, nous contemplent de leurs yeux rouges infectes. Se laver est quasi impossible, et se raser est devenu un luxe. Si tu me voyais, tu ne me reconnaîtrais pas : j'ai une barbe aussi longue que celle de Merlin !
Les paillasses sur lesquelles nous couchons sont inconfortables ; elles grattent et sont humides. De plus, nous devons nous serrer pour que tout le monde y trouve son compte.
Néanmoins, il y a un point positif ; nous ne manquons pas de nourriture ! Même si celle-ci ne vaut pas le bon ragoût que tu nous cuisinais à l'époque, j'arrive à la digérer et, parfois, nous pouvons nous resservir. (ajoute plus de descriptions)
Maman... Vois-tu, j'ai peur. Je n'ai que vingt-trois ans et je vais peut-être mourir, sans aucune raison valable. Au fond, au nom de qui, de quoi, devrions nous nous sacrifier ? Chaque jour, je vois des hommes mourir, du sang couler, des membres voler, et je me dis "un jour, je serai l'un de ces soldats morts, ensanglantés".
J'aimerais te revoir, maman. Te serrer dans mes bras, te dire que je t'aime.
Je regrette affreusement de ne pas te l'avoir dit plus souvent.
Parfois, je me demande ce que cela ferait si la guerre s'arrêtait et si je pouvais enfin rentrer chez nous, et je me rends compte que je ne pourrais plus jamais vivre comme avant : ma vie restera brisée pour toujours, c'est inéluctable. Comment vivre après avoir tué et vu tant d'horreurs ?
Je suis épuisé de devoir me traîner dans la boue chaque jour, épuisé d'avoir si froid, épuisé de devoir vivre...
Survivre...
En vain...
Je t'aime...
Michel
--> N'oublie surtout pas d'utiliser le registre pathétique !!
--> Pense à ajouter plus de descriptions