7. Accordez les mots entre parenthese Le (bois) était (ténébreux), sans aucun froissement de (feuille), sans aucune de ces (vague) et (fraiche) (lueur) de l'été. De (grand) (branchage) s'y drenalent affreusement. Des (buisson) (chétif) et (diforme) sifflaient dans les (clairière). Les (haute herbe) fout. millaient sous la bise comme des languille) (ronce) se tordaient comme de (long bras arme de griffe) cherchant à prendre des (proie). Quelques (bruyère sèche), chassées par le vent, passaient ra- pidement et avaient l'air de s'enfuir avec épouvante devant quelque chose qui arrivait. De tous les côtés il y avait des (étendue lugubre). D'après Victor Hugo, Les Misérables, 1862.
Le bois était ténébreux, sans aucun froissement de feuilles, sans aucune de cesvagues et fraîches lueurs de l’été. De grands branchages s’y dressaient affreusement. Des buissonschétifs et difformes sifflaient dans lesclairières. Les hautes herbes fourmillaient sous la bise comme desanguillesronces se tordaient comme de longs bras armés de griffes cherchant à prendre desproies. Quelquesbruyères sèches, chassées par le vent, passaient rapidement et avaient l’air de s’enfuir avec épouvante devant quelque chose qui arrivait. De tous les côtés il y avait desétendues lugubres.
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Le bois était ténébreux, sans aucun froissement de feuilles, sans aucune de ces vagues et fraîches lueurs de l’été. De grands branchages s’y dressaient affreusement. Des buissons chétifs et difformes sifflaient dans les clairières. Les hautes herbes fourmillaient sous la bise comme des anguilles ronces se tordaient comme de longs bras armés de griffes cherchant à prendre des proies. Quelques bruyères sèches, chassées par le vent, passaient rapidement et avaient l’air de s’enfuir avec épouvante devant quelque chose qui arrivait. De tous les côtés il y avait des étendues lugubres.