Afrique mon Afrique Afrique des fiers guerriers dans les savanes ancestrales Afrique que chante ma grand-mère Au bord de son fleuve lointain Je ne t`ai jamais connue Mais mon regard est plein de ton sang Ton beau sang noir à travers les champs répandu Le sang de ta sueur La sueur de ton travail Le travail de I` esclavage L`esclavage de tes enfants Afrique dis-moi Afrique Est-ce donc toi ce dos qui se courbe Et se couche sous le poids de l’humilité Ce dos tremblant à zébrures rouges Qui dit oui au fouet sur les routes de midi Alors gravement une voix me répondit Fils impétueux cet arbre robuste et jeune Cet arbre là-bas Splendidement seul au milieu des fleurs Blanches et fanées C`est I` Afrique ton Afrique qui repousse Qui repousse patiemment obstinément Et dont les fruits ont peu à peu L’amère saveur de la liberté. Ma question : Vers 12, sur quel ton le poète interpelle t'il son continent ? Comparez avec le vers 1. Pour répondre observez les types de phrases et les modes verbaux utilisés.
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Le poète trouve que l'Afrique repousse, sort de plus en plus de la misère