Aider moi pour demain expression écrite de ~40 lignes ... Avec un décor un ancrage dans le réel une phrase qui bascule dans le fantastique , créature , phénomène qui apparaît et réaction du narrateur , Narration interne , expression de modalisation , ~2 figures de styles, lexique de peur ! Svp j'y arrive pas coefficient 3 pour demain !!!
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jamik846
Je ne vais pas te faire le devoir : tu devras utiliser tes connaissances pour la mise en forme (2 figures de style , par ex. une métaphore, une anaphore, une énumération, etc... Tu devras aussi exprimer le lexique de la peur (champ lexical de l'angoisse, de l'épouvante, du serrement de gorge, de la transe etc.) L'exemple le plus représentatif de ce basculement dans le fantastique me semble l'oeuvre de Prosper MERIMEE : La Vénus d'Ille (qui date de 1831): M. de Peyrehoade détient une belle statue de Vénus installée dans son jardin. Son fils, qui doit se marier, accroche la bague de diamant destinée à la mariée, au doigt de la statue afin de ne pas être gêné pendant sa partie de pelote basque. Mais au moment de retirer l'anneau, la statue referme sa main. Voilà, alors que le récit est bien ancré dans la réalité, tout à coup, cette phrase "la statue referme sa main" bascule dans le fantastique ! Pour information, une autre oeuvre semblable s'intitule Le poids du regard, de Tim Powers : Michael Crawford fête l'enterrement de sa vie de garçon. Il est saoûl, extrêmement saoûl, tellement saoûl qu'il s'amuse à passer son alliance au doigt d'une statue. Et, le temps qu'il dessaoûle, la statue a refermé sa main autour de l'aneau. A rechercher sur internet une autre oeuvre : Zampa ou la Fiancée de marbre de Louis Joseph Ferdinand Harold, qui je crois s'apparente à ces deux dernières histoires.
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L'exemple le plus représentatif de ce basculement dans le fantastique me semble l'oeuvre de Prosper MERIMEE : La Vénus d'Ille (qui date de 1831):
M. de Peyrehoade détient une belle statue de Vénus installée dans son jardin. Son fils, qui doit se marier, accroche la bague de diamant destinée à la mariée, au doigt de la statue afin de ne pas être gêné pendant sa partie de pelote basque. Mais au moment de retirer l'anneau, la statue referme sa main.
Voilà, alors que le récit est bien ancré dans la réalité, tout à coup, cette phrase "la statue referme sa main" bascule dans le fantastique !
Pour information, une autre oeuvre semblable s'intitule Le poids du regard, de Tim Powers : Michael Crawford fête l'enterrement de sa vie de garçon. Il est saoûl, extrêmement saoûl, tellement saoûl qu'il s'amuse à passer son alliance au doigt d'une statue. Et, le temps qu'il dessaoûle, la statue a refermé sa main autour de l'aneau.
A rechercher sur internet une autre oeuvre : Zampa ou la Fiancée de marbre de Louis Joseph Ferdinand Harold, qui je crois s'apparente à ces deux dernières histoires.