La joie d’être vivant le tenaillait au corps, son sang parcourait ses artères avec force et sa respiration, profonde, emplissait ses poumons de l’air de l’ailleurs. Un cri jaillit qui le sortit du tourbillon de ses sensations : « Terre, terre. » Les gens se pressèrent à l’avant du bateau ; là-bas se dessinaient dans le soleil du petit matin les côtes ocre et mauves de la Grande-Terre. Claudine Jacques, Les Cœurs barbelé
1. Souligne les verbes à l’imparfait de l’indicatif. 2. Quels sont ceux qui indiquent des actions qui durent ……………………………………………….……………………………………………………….. 3. Quel est celui qui fait partie d’une description ? ………………………………………………….. 4. Encadre les verbes au passé simple. Pourquoi l’auteure a-t-elle utilisé ce temps ? ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
J’apprends : • l’imparfait et le passé simple sont deux temps complémentaires dans un récit au passé. • L’imparfait est utilisé pour des actions d’arrière plan plan (descriptions, portrait actions de second plan) ou pour exprimer des habitudes ou des actions qui se répètent. • Le passé simple est utilisé pour des actions de premier plan, brèves, qui se détachent des actions racontées à l’imparfait ou pour des actions uniques.
Exercice d’application : Réécris le texte en conjuguant les verbes à l’imparfait ou au passé simple. Un écureuil (dégringoler) d’un châtaignier en faisant tomber les châtaignes encore vertes. Il y eut deux ou trois vols lourds de gros faisans et un tumulte dans les branches basses, les feuilles sèches, au moment de ce coup de fusil qui agita, (réveiller), effraya tout ce qui (vivre) dans le bois. Des mulots se coulèrent au fond de leurs trous. Un cerf, sorti du creux de l'arbre contre lequel nous (être blottis), (rouler) ses gros yeux bêtes, fixes de terreur. Alphonse Daudet, Contes du lundi. ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
3. En une dizaine de lignes, imagine un récit au passé simple et à l’imparfait dans lequel tu intégreras, dans l’ordre souhaité, les expressions « depuis plusieurs jours », « un matin », « c’est alors que », « régulièrement », « soudain ».
1- La joie d’être vivant le tenaillait au corps, son sang parcourait ses artères avec force et sa respiration, profonde, emplissait ses poumons de l’air de l’ailleurs.
Un cri jaillit qui le sortit du tourbillon de ses sensations : « Terre, terre. »
Les gens se pressèrent à l’avant du bateau ; là-bas se dessinaient dans le soleil du petit matin les côtes ocre et mauves de la Grande-Terre.
2- Ceux à l'imparfait.
3- Imparfait
4- ( je te mets en gras) La joie d’être vivant le tenaillait au corps, son sang parcourait ses artères avec force et sa respiration, profonde, emplissait ses poumons de l’air de l’ailleurs.
Un cri jaillit qui le sortit du tourbillon de ses sensations : « Terre, terre. »
Les gens se pressèrent à l’avant du bateau ; là-bas se dessinaient dans le soleil du petit matin les côtes ocre et mauves de la Grande-Terre.
Le Passé simple est utilisé car on parle d'une action brève.
Application:
Un écureuil dégringola d’un châtaignier en faisant tomber les châtaignes encore vertes. Il y eut deux ou trois vols lourds de gros faisans et un tumulte dans les branches basses, les feuilles sèches, au moment de ce coup de fusil qui agita, réveilla, effraya tout ce qui vivait dans le bois. Des mulots se coulèrent au fond de leurs trous. Un cerf, sorti du creux de l'arbre contre lequel nous étions blottis, roulait ses gros yeux bêtes, fixes de terreur. Alphonse Daudet, Contes du lundi.
Explications:
Pour ton texte, prend un brouillon, tu notes toutes tes idées (personnage(s), lieu(x), moment(s) de la journée...) et tu rédiges ton texte comme il te viens à l'esprit. Fait preuve d'imagination et d'originalité
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Réponse:
1- La joie d’être vivant le tenaillait au corps, son sang parcourait ses artères avec force et sa respiration, profonde, emplissait ses poumons de l’air de l’ailleurs.
Un cri jaillit qui le sortit du tourbillon de ses sensations : « Terre, terre. »
Les gens se pressèrent à l’avant du bateau ; là-bas se dessinaient dans le soleil du petit matin les côtes ocre et mauves de la Grande-Terre.
2- Ceux à l'imparfait.
3- Imparfait
4- ( je te mets en gras) La joie d’être vivant le tenaillait au corps, son sang parcourait ses artères avec force et sa respiration, profonde, emplissait ses poumons de l’air de l’ailleurs.
Un cri jaillit qui le sortit du tourbillon de ses sensations : « Terre, terre. »
Les gens se pressèrent à l’avant du bateau ; là-bas se dessinaient dans le soleil du petit matin les côtes ocre et mauves de la Grande-Terre.
Le Passé simple est utilisé car on parle d'une action brève.
Application:
Un écureuil dégringola d’un châtaignier en faisant tomber les châtaignes encore vertes. Il y eut deux ou trois vols lourds de gros faisans et un tumulte dans les branches basses, les feuilles sèches, au moment de ce coup de fusil qui agita, réveilla, effraya tout ce qui vivait dans le bois. Des mulots se coulèrent au fond de leurs trous. Un cerf, sorti du creux de l'arbre contre lequel nous étions blottis, roulait ses gros yeux bêtes, fixes de terreur. Alphonse Daudet, Contes du lundi.
Explications:
Pour ton texte, prend un brouillon, tu notes toutes tes idées (personnage(s), lieu(x), moment(s) de la journée...) et tu rédiges ton texte comme il te viens à l'esprit. Fait preuve d'imagination et d'originalité
Sur ce, bonne chance, j'espère t'avoir aidé(e).