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Voici un plan pour un commentaire du poeme de Victor Hugo:
1) Un tableau cruel:
1)L'hostilité du climat.
2)La souffrance des hommes:
3) Une scene amplifiée:
L'Expiation.
Il neigeait. On était vaincu par sa conquête.
Pour la première fois l'aigle baissait la tête.
Sombres jours ! l'empereur revenait lentement,
Laissant derrière lui brûler Moscou fumant.
Il neigeait. L'âpre hiver fondait en avalanche.
Après la plaine blanche une autre plaine blanche.
On ne connaissait plus les chefs ni le drapeau.
Hier la grande armée, et maintenant troupeau.
On ne distinguait plus les ailes ni le centre.
Il neigeait. Les blessés s'abritaient dans le ventre
Des chevaux morts ; au seuil des bivouacs désolés
On voyait des clairons à leur poste gelés,
Restés debout, en selle et muets, blancs de givre,
Collant leur bouche en pierre aux trompettes de cuivre.
Boulets, mitraille, obus, mêlés aux flocons blancs,
Pleuvaient ; les grenadiers, surpris d'être tremblants,
Marchaient pensifs, la glace à leur moustache grise.
Il neigeait, il neigeait toujours ! La froide bise
Sifflait ; sur le verglas, dans des lieux inconnus,
On n'avait pas de pain et l'on allait pieds nus.
Ce n'étaient plus des cœurs vivants, des gens de guerre :
C'était un rêve errant dans la brume, un mystère,
Une procession d'ombres sous le ciel noir.
La solitude vaste, épouvantable à voir,
Partout apparaissait, muette vengeresse.
Le ciel faisait sans bruit avec la neige épaisse
Pour cette immense armée un immense linceul.
Et chacun se sentant mourir, on était seul.
Lista de comentários
Pour t'aider je vais te dire tous ce que je vois dans le poème qui est en rapport avec tes 3 parties; mais certains vont dans 2 parties
1) Un tableau cruel: chevaux morts, brûler Moscou, hommes qui n'ont plus de pain et qui vont pieds nus
1)L'hostilité du climat.
dans l'hostilité du climat, je vois, :
-la neige
- l'âpre hiver il est dur de faire la guerre quand en plus on a froid
-il neigeait il neigeait toujours ,
-la froide bise sifflait ,
-sur le verglas ,
-dans des lieux inconnus
par ces mots je dirais que les hommes ne sont pas dans leurs pays mais en pays ennemi qu'ils ont du attaquer.ils ne semblent pas couverts pour les grands froids de la Russie .l'auteur parle de la neige plusieurs fois il veut insister que l'hostilité du climat est terrible pour les hommes
2)La souffrance des hommes:
-vaincus par la conquête
-les blessés
- les clairons à leur poste gelé , blanc de givre,
-on avait plus de pain ,
-on allait pieds nus,
-solitude vaste,
-chacun se sentant mourir .
Par les mots de l'auteur on sent qu'ils n'en peuvent plus , ils semblent avancer sans courage, sans force , ils semblent abattus, ils ne sont pas les vainqueurs.Ils ont une souffrance pschologique vaincus par la conquête(abattus, solititude, muets), et physique( pieds nus, blessés) en même temps
3) Une scène amplifiée:
-une procession d'ombres
ce sont des hommes encore par ces mots c'est comme s'ils étaient déjà morts et qu'ils n'étaient que des hommes maintenant
-il pleuvait des boulets, mitraille,obus.......,
je pense qu'ils en on tellement vu tellement reçu
quand pour eux c'e'st comme s'ils tombaient du ciel sans arrêt
on ne parle plus d'hommes mais de troupeaux, cela a mon avis amplifie le fait que ces hommes à cause de la guerre, ne semblent plus être humains
Voilà mes idées par rapport à ton poème
une idée pour ton intro au commentaire tu pourrais expliquer par ex la défintion de L'Expiation.