Aidez moi svp mrc d'avance 1 Raconter un souvenir d'enfance Racontez un souvenir d'enfance ou d'adolescence : Sou- venir scolaire, souvenir d'un jeu ou d'un jouet, souvenir d'une fête familiale, souvenir de vacances, souvenir d'un moment de bonheur, d'une rencontre, d'une peur éprou- vée (comme dans l'extrait d'Éric Fottorino, p. 26). Vous exprimerez vos sentiments avec le recul que vous avez pris. Consignes d'écriture Précisez les circonstances en introduction. Introduisez une rapide description (lieu, personnages...). Vous pouvez insérer des paroles rapportées. Utilisez les temps du passé et le présent de narration. troduisez quelques commentaires.
J'avais 9 ans, je rentrais de l'école à pied avec ma copine Manon parce-que nous étions voisines depuis notre naissance, et en plus, on habitait tout près de l'école. On chahutait, on se racontait des histoires, on passait même tous les jours à la boulangerie pour s'acheter des bonbons, (maman me donnait l'argent pour acheter mon goûter normalement). Tout en rigolant (la vie nous rendait heureuse), on se rapprochait de chez nous, mais d'habitude, ma petite chienne Gaïa venait nous rejoindre, et ce jour-là elle n'avait pas pointé le bout de son museau. Une petite inquiétude a commencé à se faire sentir et je m'empressais donc de courir jusqu'à la maison. Toujours pas de Gaïa. Je regardais un peu plus loin, et j'apercevais son petit corps étendu sur le bord de la route, ne bougeant pas du tout. Horreur ! Je criais ! J'étais en larmes ! Ma vie était finie ! Gaïa, ma fidèle compagne, m'avait abandonnée, elle était morte ! Qu'allais-je devenir sans sa compagnie quotidienne, sans ses câlins...Je partais en courant à sa rencontre et par chance, je me suis aperçue que son petit cœur battait encore tout doucement. Ma copine a vite couru chercher de l'aide et a ramené son père qui a enveloppé ma petite chienne dans une couverture chaude et qui nous a conduit chez le vétérinaire le plus proche. Arrivés à destination, le médecin l'a prise en charge tout de suite et par chance nous a donné un diagnostic rassurant, il allait la sauver. Une petite opération et elle serait sur ses pattes dans quelques jours. J'étais enfin rassurée, mon amie, ma confidente, mon tout, ne m'avait pas quittée, nous nous aimons trop pour cela. Ma petite Gaïa est toujours là aujourd'hui, elle ne vient plus me rejoindre sur le chemin de l'école car maintenant je prends le bus pour me rendre au collège mais elle m'attend et me fait la fête dès mon retour à la maison. Je me dis que j'ai de la chance de l'avoir et que jamais je ne voudrai revivre une telle expérience. Personne ne peut la remplacer, elle est unique et j'espère qu'elle vivra le plus longtemps possible à mes côtés.
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J'avais 9 ans, je rentrais de l'école à pied avec ma copine Manon parce-que nous étions voisines depuis notre naissance, et en plus, on habitait tout près de l'école. On chahutait, on se racontait des histoires, on passait même tous les jours à la boulangerie pour s'acheter des bonbons, (maman me donnait l'argent pour acheter mon goûter normalement). Tout en rigolant (la vie nous rendait heureuse), on se rapprochait de chez nous, mais d'habitude, ma petite chienne Gaïa venait nous rejoindre, et ce jour-là elle n'avait pas pointé le bout de son museau. Une petite inquiétude a commencé à se faire sentir et je m'empressais donc de courir jusqu'à la maison. Toujours pas de Gaïa. Je regardais un peu plus loin, et j'apercevais son petit corps étendu sur le bord de la route, ne bougeant pas du tout. Horreur ! Je criais ! J'étais en larmes ! Ma vie était finie ! Gaïa, ma fidèle compagne, m'avait abandonnée, elle était morte ! Qu'allais-je devenir sans sa compagnie quotidienne, sans ses câlins...Je partais en courant à sa rencontre et par chance, je me suis aperçue que son petit cœur battait encore tout doucement. Ma copine a vite couru chercher de l'aide et a ramené son père qui a enveloppé ma petite chienne dans une couverture chaude et qui nous a conduit chez le vétérinaire le plus proche. Arrivés à destination, le médecin l'a prise en charge tout de suite et par chance nous a donné un diagnostic rassurant, il allait la sauver. Une petite opération et elle serait sur ses pattes dans quelques jours. J'étais enfin rassurée, mon amie, ma confidente, mon tout, ne m'avait pas quittée, nous nous aimons trop pour cela. Ma petite Gaïa est toujours là aujourd'hui, elle ne vient plus me rejoindre sur le chemin de l'école car maintenant je prends le bus pour me rendre au collège mais elle m'attend et me fait la fête dès mon retour à la maison. Je me dis que j'ai de la chance de l'avoir et que jamais je ne voudrai revivre une telle expérience. Personne ne peut la remplacer, elle est unique et j'espère qu'elle vivra le plus longtemps possible à mes côtés.