« Ô Liberté, que de crimes on commet en ton nom ! »
Le 31 mai 1793, lors de la chute de la Gironde, de nombreux Girondins sont arrêtés ; son mari fuit, et Manon Roland se laisse arrêter le lendemain à son domicile. Elle est libérée le 24 juin mais immédiatement arrêtée à nouveau et transférée à la Conciergerie où elle restera pendant cinq mois. En prison, elle écrit des Mémoires, qui demeurent un témoignage exceptionnel sur l’histoire de la Gironde. Elle est jugée le 8 novembre 1793 et condamnée à mort pour participation à la conspiration contre la République ; la sentence est exécutée le jour-même. Ses dernières paroles auraient été : « Ô Liberté, que de crimes on commet en ton nom ! »
Elle laisse de nombreuses lettres et des mémoires précieuses.
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« Ô Liberté, que de crimes on commet en ton nom ! »
Le 31 mai 1793, lors de la chute de la Gironde, de nombreux Girondins sont arrêtés ; son mari fuit, et Manon Roland se laisse arrêter le lendemain à son domicile. Elle est libérée le 24 juin mais immédiatement arrêtée à nouveau et transférée à la Conciergerie où elle restera pendant cinq mois. En prison, elle écrit des Mémoires, qui demeurent un témoignage exceptionnel sur l’histoire de la Gironde. Elle est jugée le 8 novembre 1793 et condamnée à mort pour participation à la conspiration contre la République ; la sentence est exécutée le jour-même. Ses dernières paroles auraient été : « Ô Liberté, que de crimes on commet en ton nom ! »
Elle laisse de nombreuses lettres et des mémoires précieuses.