Annelies Marie Frank, plus connue sous le nom d’Anne Frank, née le 12 juin 1929 à Francfort-sur-le-Main en Allemagne, sous la République de Weimar, et morte en février 1945 ou mars 1945 à Bergen-Belsen en Allemagne nazie, est une adolescente allemande, connue pour avoir écrit un journal intime.
Anne Frank écrit-elle son Journal pour se libérer
Anne Frank écrit-elle son Journal pour se libérerd'un traumatisme ?:
«L’écriture servait de refuge à Anne Frank durant son retrait du monde»
Quel passage du livre était le plus marquant? Et pourquoi ?:
«Le papier a plus de patience que les gens : ce dicton m’est venu à l’esprit par un de ces jours de légère mélancolie où je m’ennuyais, la tête dans les mains, en me demandant dans mon apathie s’il fallait sortir ou rester à la maison et où, au bout du compte, je restais plantée là à me morfondre.»
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Travissstt
Merci pour toutes tes explications, c’est bien la première fois que quelqu’un répond à mon aide avec autant d’éléments écrits, d’habitude j’ai le droit à une réponse vague sans intérêt… Je suis très reconnaissante, merci encore et bonne journée ! :,D
linamimouni7002
Bonjour , c’est qu’elle page la dernière citation svp ??
linamimouni7002
Oui j’aurai besoin , je bloque parce que je dois écrire une conclusion sur le journal d’Anne Frank en rapport avec sa vie quotidienne avec des citations dans le livre ….
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Réponse:
Qui était Anne Frank ? :
Annelies Marie Frank, plus connue sous le nom d’Anne Frank, née le 12 juin 1929 à Francfort-sur-le-Main en Allemagne, sous la République de Weimar, et morte en février 1945 ou mars 1945 à Bergen-Belsen en Allemagne nazie, est une adolescente allemande, connue pour avoir écrit un journal intime.
Anne Frank écrit-elle son Journal pour se libérer
Anne Frank écrit-elle son Journal pour se libérerd'un traumatisme ? :
«L’écriture servait de refuge à Anne Frank durant son retrait du monde»
Quel passage du livre était le plus marquant? Et pourquoi ? :
«Le papier a plus de patience que les gens : ce dicton m’est venu à l’esprit par un de ces jours de légère mélancolie où je m’ennuyais, la tête dans les mains, en me demandant dans mon apathie s’il fallait sortir ou rester à la maison et où, au bout du compte, je restais plantée là à me morfondre.»