- Bonjour Mademoiselle, venez vous assoir dit le producteur.

Je rentre, les jambes raides, courbée et stressée. Je n'avais jamais fais cela avant et cela semblait au dessus de mes forces.

- Donc, vous êtes ici aujourd'hui, pour me présenter votre dernière idée de film ?

- Oui, c'est bien cela monsieur. Il y a quelques jours, je me suis dit qu'il serait bien de ramener de la jeunesse dans le cinéma moderne. Dans les grandes lignes, dans une petite ville en Amérique, Ashley 17 ans, voit exploser une centrale nucléaire à côté de chez elle. Elle décide de se sauver. Et si on veut le dire ainsi à partir de ce moment il faudra non pas vivre mais survivre.

- Bien, bien ...

Je regarde le producteur, rien dans ses yeux ne me dit si il aime l'idée. Je lui pose quand même le petit bloc notes d'idée sur son bureau. Un silence s'installe pendant qu'il le lit. Je regarde mes pieds. Lui, ne semble pas du tout dérangé de ce silence pesant.

- C'est très bien, très très très bien ! Tout ce que je veux c'est de bons acteurs ! De très très bons acteurs !!!

Je vois enfin une étincelle dans son regard et reprend confiance. Je n'ai plus de soucis à me faire pour l'instant.

Le producteur ensuite me demande :

- Dans les petites lignes , que donne l'histoire ?

- Nous avons Ashley, jeune fille brillante du lycée Neil, qui a une vie pleines de rebondissements. Jusqu'au jour où juste à quelques kilomètres, une usine nucléaire explose. Elle contamine tout le pays et même au delà des frontière. Cela devient un enfer. La famille de la fille meurt. Elle est obligé de quitter son chez elle. Elle va se faire deux amis en court de route : Maxence et Louis. Et surtout, il fut survivre car le pays rentre en guerre nucléaire.

- Très bien, et bien mademoiselle ...

- Sanderse monsieur.

- Mademoiselle Sanderse, et bien je trouve que vous avez de très bonnes idées. Maintenant à part les idée etc, il me faut les manuscrits. Il faut que vous montiez une équipe de tonnerre. Je veux des assistants, des chefs, des sous-chefs.

Et pour sceller cette accord, je lui serre la main. Je repars, avec l'iddée en têt de devenir aussi forte que du roc ...