- un , l'été où la foule a envahi la ville, où les rires et la joie sont présents partout : " la douceur bienfaitrice des ruelles pleines de rires, les cris joyeux..", "les odeurs de moules frites"... Ce sont les vacances, les gens prennent le temps de vivre dans la bonne humeur.
- l'autre visage, en novembre , n'est plus le même : "tempêtes", "portes closes". La ville est morte, il n'y a personne dans les rues avec le mauvais temps..
2. La narratrice , l'été à Honfleur, est gaie comme les gens qu'elle croise. Mais en novembre, la ville change et elle, aussi. Elle n'arrive plus "à refouler ses peurs venues du fond des siècles". Tout l'effraie : "J'eus soudain très peur", "je courais", "rien de rassurant", "je frissonnai de peur".
3. Avec la nuit, la pluie et ses peurs, tout se transforme. Elle panique au moindre bruit ou dès qu'elle aperçoit une ombre. Elle reconnait son voisin dont elle fait une description monstrueuse : " aux gros yeux globuleux". Elle est seule dans la rue et sa peur fait travailler so imagination. La nature (vent et pluie) se mêle à son humeur..
2 votes Thanks 1
claireverlinden
Merci bcp je t'en remercie. Tu m'a bien aidé
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Réponse :
bonjour
Explications :
1. Honfleur offre deux visages :
- un , l'été où la foule a envahi la ville, où les rires et la joie sont présents partout : " la douceur bienfaitrice des ruelles pleines de rires, les cris joyeux..", "les odeurs de moules frites"... Ce sont les vacances, les gens prennent le temps de vivre dans la bonne humeur.
- l'autre visage, en novembre , n'est plus le même : "tempêtes", "portes closes". La ville est morte, il n'y a personne dans les rues avec le mauvais temps..
2. La narratrice , l'été à Honfleur, est gaie comme les gens qu'elle croise. Mais en novembre, la ville change et elle, aussi. Elle n'arrive plus "à refouler ses peurs venues du fond des siècles". Tout l'effraie : "J'eus soudain très peur", "je courais", "rien de rassurant", "je frissonnai de peur".
3. Avec la nuit, la pluie et ses peurs, tout se transforme. Elle panique au moindre bruit ou dès qu'elle aperçoit une ombre. Elle reconnait son voisin dont elle fait une description monstrueuse : " aux gros yeux globuleux". Elle est seule dans la rue et sa peur fait travailler so imagination. La nature (vent et pluie) se mêle à son humeur..