Ruth songeait et Booz dormait ; l'herbe était noire ; Les grelots des troupeaux palpitaient vaguement ; Une immense bonté tombait du firmament ; C'était l'heure tranquille où les lions vont boire.
V. Hugo, « Booz endormi », La légende des siècles Cette strophe est un ………………………………… composé de quatre ………………………………… (………. syllabes). On remarque une succession de rimes ………………………………… (noire) et ………………………………… (firmament). Les rimes sont ………………………………… (noire / boire, deux sons communs). Leur schéma AB-BA en fait des rimes ………………………………… Chaque vers est coupé en deux hémistiches : la ………………………………… est classique.
Ruth songeait et Booz dormait ; l'herbe était noire ;
Les grelots des troupeaux palpitaient vaguement ;
Une immense bonté tombait du firmament ;
C'était l'heure tranquille où les lions vont boire.
V. Hugo, « Booz endormi », La légende des siècles
Cette strophe est un poème composé de quatre alexandrins (12 syllabes). On remarque une succession de rimes féminine (noire) et masculine (firmament). Les rimes sont suffisantes (noire / boire, deux sons communs). Leur schéma AB-BA en fait des rimes embrassées. Chaque vers est coupé en deux hémistiches : la césure est classique.
Explications :
Le premier et le dernier vers ont une diérèse (no/ire et bo/ire) ce qui permet de compter 12 syllabes pour former des alexandrins.
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gulliyaya32
Bonjour merci pour votre aide, bonne journée à vous.
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Bonjour
Réponse :
Lisez cet extrait puis complétez le texte.
Ruth songeait et Booz dormait ; l'herbe était noire ;
Les grelots des troupeaux palpitaient vaguement ;
Une immense bonté tombait du firmament ;
C'était l'heure tranquille où les lions vont boire.
V. Hugo, « Booz endormi », La légende des siècles
Cette strophe est un poème composé de quatre alexandrins (12 syllabes). On remarque une succession de rimes féminine (noire) et masculine (firmament). Les rimes sont suffisantes (noire / boire, deux sons communs). Leur schéma AB-BA en fait des rimes embrassées. Chaque vers est coupé en deux hémistiches : la césure est classique.
Explications :
Le premier et le dernier vers ont une diérèse (no/ire et bo/ire) ce qui permet de compter 12 syllabes pour former des alexandrins.