bon jour et merci d'avance je veux le résumé de le livre de maudit donjon le livre de moyen age aidez moi s.v.p
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titimoreau2469
L'AVIS DE RICOCHETHughes de Flérimont et son valet Millefeuille chevauchent de part le monde. Millefeuille, qui ne sait pas écrire, dicte régulièrement à son maître leurs aventures. Cette fois-ci, c’est un peu dangereux : sur le chantier d’un château-fort, des ouvriers disparaissent. Hughes de Flérimont, chargé de remplacer l’architecte parti, enquête. Après de nombreux calculs et mesures dans le donjon et de la fuite de l’écureuil de Millefeuile, Hughes de Flérimont découvre un premier passage secret dans les latrines : le seigneur du château y avait enfermé les ouvriers l’ayant construit, de peur qu’ils ne dévoilent son existence. Nos deux héros tairont un deuxième passage, réservé à la sauvage fille du seigneur pour qu’elle puisse sortir dans la forêt.
Historiquement, on pourrait imaginer que le narrateur Millefeuille, sorte de clerc-assistant, suit son chevalier de maître et réalise chemin faisant son hagiographie. L’entreprise est alors spéciale, puisque le valet est non seulement illettré, mais que, simple servant, il se donne en plus une part importante dans le récit ! Un peu nigaud, douillet au premier abord, c’est un homme au sens pratique très développé : il invente la cage à écureuil, cette roue dans laquelle un humain tournait pour monter des poids lourds, le plâtre (à la chaux !) pour maintenir une fracture… Dévoué à son maître, il a cependant sa conscience propre et des revendications sur son travail. Millefeuille ressemble ainsi à un anachronisme vivant, généreux et drôle. L’histoire n’est qu’un prétexte à le faire évoluer pour nous réjouir. Le tout est magnifié par une langue dialoguée et vivante, très savoureuse (voir Millefeuille qui interprète mal des termes de taille des pierrres, pp. 126-129). Un petit glossaire final rappelle quelques termes d’architecture.
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Historiquement, on pourrait imaginer que le narrateur Millefeuille, sorte de clerc-assistant, suit son chevalier de maître et réalise chemin faisant son hagiographie. L’entreprise est alors spéciale, puisque le valet est non seulement illettré, mais que, simple servant, il se donne en plus une part importante dans le récit ! Un peu nigaud, douillet au premier abord, c’est un homme au sens pratique très développé : il invente la cage à écureuil, cette roue dans laquelle un humain tournait pour monter des poids lourds, le plâtre (à la chaux !) pour maintenir une fracture… Dévoué à son maître, il a cependant sa conscience propre et des revendications sur son travail. Millefeuille ressemble ainsi à un anachronisme vivant, généreux et drôle. L’histoire n’est qu’un prétexte à le faire évoluer pour nous réjouir. Le tout est magnifié par une langue dialoguée et vivante, très savoureuse (voir Millefeuille qui interprète mal des termes de taille des pierrres, pp. 126-129). Un petit glossaire final rappelle quelques termes d’architecture.