Bonjour 2. Réécris le texte en utilisant les temps du récit (passé-simple, imparfait):Nous sommes dans l’atmosphère. Les rétrofusées entrent en action. Nova me regarde en souriant. Elle a appris à sourire et aussi à pleurer. Mon fils tend les bras et ouvre les yeux émerveillés. Au dessous de nous, c’est Paris. La tour Eiffel est toujours là. J’ai pris les commandes et me dirige d’une manière très précise. Miracle de la technique ! Après cent ans d’absence, je parviens à me poser à Orly, qui n’a pas beaucoup changé, au bout du terrain, assez loin des bâtiments. On a dû m’apercevoir ; je n’ai qu’à attendre. Il ne semble pas y avoir de trafic aérien ; l’aéroport serait-il désaffecté ? Non, voici un appareil. Il ressemble en tout point aux avions de mon époque ! Un véhicule se détache des bâtiments, roulant dans notre direction. J’arrête mes fusées, en proie à une agitation de plus en plus fébrile. Quel récit je vais pouvoir faire à mes frères humains ! Peut-être ne me croiront-ils pas tout d’abord, mais j’ai des preuves. J’ai Nova, j’ai mon fils. Le véhicule grandit. C’est une camionnette d’un modèle assez ancien : quatre roues et un moteur à explosion. J’enregistre machinalement tous ces détails. J’aurais pensé que ces voitures étaient reléguées dans les musées. J’aurais imaginé volontiers aussi une réception un peu plus solennelle. Ils sont peu nombreux pour m’accueillir. Deux hommes seulement, je crois. Je suis stupide ; ils ne peuvent pas savoir. Quand ils sauront ! … (...)
Nous étions dans l’atmosphère. Les rétrofusées entrèrent en action. Nova me regarda en souriant. Elle apprenait à sourire et aussi à pleurer. Mon fils tendit les bras et ouvrit les yeux émerveillés. Au dessous de nous, c’était Paris. La tour Eiffel était toujours là. Je pris les commandes et me dirigeai d’une manière très précise. Miracle de la technique ! Après cent ans d’absence, je parvins à me poser à Orly, qui n’avait pas beaucoup changé, au bout du terrain, assez loin des bâtiments. On dut m’apercevoir ; je n’avais qu’à attendre. Il ne semblait pas y avoir de trafic aérien ; l’aéroport serait-il désaffecté ? Non, voici un appareil. Il ressemblait en tout point aux
avions de mon époque ! Un véhicule se détacha des bâtiments, roulant dans notre direction. J’arrêtai mes fusées, en proie à une agitation de plus en plus fébrile. Quel récit j'allais pouvoir faire à mes frères humains ! Peut-être ne me croiraient-ils pas tout d’abord, mais j’avais des preuves. J’avais Nova, j’avais mon fils. Le véhicule grandissait. C’était une camionnette d’un modèle assez ancien : quatre roues et un moteur à explosion.
J’enregistrai machinalement tous ces détails. J’aurais pensé que ces voitures étaient reléguées dans les musées.
J’aurais imaginé volontiers aussi une réception un peu plus solennelle. Ils étaient peu nombreux pour m’accueillir. Deux hommes seulement, je croyais. J'étais stupide ; ils ne pouvaient pas savoir. Quand ils
je vais répondre en ne disant que les verbes, tu pourra complèter:
Nous étions... les rétrofusées entrèrent...Nova me regarda...elle apprenait...Mon fils tendit les bras et ouvrit les yeux...c'était Paris...la tour Effeil était...je pris...me dirigeais...je parvins...qui n'avait pas...on avait dû...je n'avais...il ne sembla...il ressemblait...se détacha...j'arrêtais...ne me croient-ils...j'avais...j'avais...j'avais...c'était...j'enregistrais...j'avais...ils étaient...je croyais...je fût stupide...ils ne pouvaient...ils sûrent...
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si tu n'arrive pas à faire un exercice de ce genre là prochaine fois, il te faut réellement reviser, plutôt réapprendre, même, ta conjugaison!
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Nous étions dans l’atmosphère. Les rétrofusées entrèrent en action. Nova me regarda en souriant. Elle apprenait à sourire et aussi à pleurer. Mon fils tendit les bras et ouvrit les yeux émerveillés. Au dessous de nous, c’était Paris. La tour Eiffel était toujours là. Je pris les commandes et me dirigeai d’une manière très précise. Miracle de la technique ! Après cent ans d’absence, je parvins à me poser à Orly, qui n’avait pas beaucoup changé, au bout du terrain, assez loin des bâtiments. On dut m’apercevoir ; je n’avais qu’à attendre. Il ne semblait pas y avoir de trafic aérien ; l’aéroport serait-il désaffecté ? Non, voici un appareil. Il ressemblait en tout point aux
avions de mon époque ! Un véhicule se détacha des bâtiments, roulant dans notre direction. J’arrêtai mes fusées, en proie à une agitation de plus en plus fébrile. Quel récit j'allais pouvoir faire à mes frères humains ! Peut-être ne me croiraient-ils pas tout d’abord, mais j’avais des preuves. J’avais Nova, j’avais mon fils. Le véhicule grandissait. C’était une camionnette d’un modèle assez ancien : quatre roues et un moteur à explosion.
J’enregistrai machinalement tous ces détails. J’aurais pensé que ces voitures étaient reléguées dans les musées.
J’aurais imaginé volontiers aussi une réception un peu plus solennelle. Ils étaient peu nombreux pour m’accueillir. Deux hommes seulement, je croyais. J'étais stupide ; ils ne pouvaient pas savoir. Quand ils
sauraient ! … (...)
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je vais répondre en ne disant que les verbes, tu pourra complèter:
Nous étions... les rétrofusées entrèrent...Nova me regarda...elle apprenait...Mon fils tendit les bras et ouvrit les yeux...c'était Paris...la tour Effeil était...je pris...me dirigeais...je parvins...qui n'avait pas...on avait dû...je n'avais...il ne sembla...il ressemblait...se détacha...j'arrêtais...ne me croient-ils...j'avais...j'avais...j'avais...c'était...j'enregistrais...j'avais...ils étaient...je croyais...je fût stupide...ils ne pouvaient...ils sûrent...
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si tu n'arrive pas à faire un exercice de ce genre là prochaine fois, il te faut réellement reviser, plutôt réapprendre, même, ta conjugaison!