Il s'agit ici d'exploiter parallèlement les deux graphiques qui te sont fournis : tu peux facilement constater que les années où sont disponibles un grand nombre de mulots dans la zone étudiée, il y a un nombre élevé de petits par femelle. Au contraire quand il y a peu de mulots, il y a aussi peu de petits par femelle chouette.
En sachant que les chouettes se nourrissent notamment de ces mulots, tu peux en déduire que la prolifération ou le manque de nourriture est un facteur qui influence le nombre de petits faits par les chouettes, donc en d'autres termes la présence ou non de nourriture a des conséquences sur la reproduction de la chouette.
Tu peux donc en conclure que le milieu "fait pression" sur les chouettes à cause de la quantité variante de nourriture (mulots) chaque année.
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Il s'agit ici d'exploiter parallèlement les deux graphiques qui te sont fournis : tu peux facilement constater que les années où sont disponibles un grand nombre de mulots dans la zone étudiée, il y a un nombre élevé de petits par femelle. Au contraire quand il y a peu de mulots, il y a aussi peu de petits par femelle chouette.
En sachant que les chouettes se nourrissent notamment de ces mulots, tu peux en déduire que la prolifération ou le manque de nourriture est un facteur qui influence le nombre de petits faits par les chouettes, donc en d'autres termes la présence ou non de nourriture a des conséquences sur la reproduction de la chouette.
Tu peux donc en conclure que le milieu "fait pression" sur les chouettes à cause de la quantité variante de nourriture (mulots) chaque année.
Bonne chance !