Bonjour à tous j'ai un devoir à rendre sur le poème " l'Aube" d'Arthur Rimbaud j'aurais besoin de votre aide pour répondre aux questions.
VOICI LE POEME :
J'ai embrassé l'aube d'été.
Rien ne bougeait encore au front des palais. L'eau était morte. Les camps d'ombres ne quittaient pas la route du bois. J'ai marché, réveillant les haleines vives et tièdes, et les pierreries regardèrent, et les ailes se levèrent sans bruit.
La première entreprise fut, dans le sentier déjà empli de frais et blêmes éclats, une fleur qui me dit son nom.
Je ris au wasserfall blond qui s'échevela à travers les sapins : à la cime argentée, je reconnus la déesse.
Alors je levai un à un les voiles. Dans l'allée, en agitant les bras. Par la plaine, où je l'ai dénoncée au coq. A la grand'ville elle
fuyait parmi les clochers et les dômes, et courant comme un mendiant sur les quais de marbre, je la chassais.
En haut de la route, près d'un bois de lauriers, je l'ai entourée avec ses voiles amassés, et j'ai senti un peu son immense corps. L'aube et l'enfant tombèrent au bas du bois.
Au réveil il était midi.
VOICI LES QUESTIONS :
1. Comparez la première et la dernière phrase: comment se répondent-elles (évolution, forme, rythme)?
2. Montrez que le récit suit une progression chronologique et spatiale.
3.Comment peut-on qualifier ici la nature décrite ici par le poète?
4.Quelle relation entretient-il avec la nature?
5. Expliquez pourquoi il s'agit d'un poème en prose. Montrez comment il convient particulièrement au thème traité par le poète
Merci d'avance à vous tous pour votre aide
VOICI LE POEME :
J'ai embrassé l'aube d'été.
Rien ne bougeait encore au front des palais. L'eau était morte. Les camps d'ombres ne quittaient pas la route du bois. J'ai marché, réveillant les haleines vives et tièdes, et les pierreries regardèrent, et les ailes se levèrent sans bruit.
La première entreprise fut, dans le sentier déjà empli de frais et blêmes éclats, une fleur qui me dit son nom.
Je ris au wasserfall blond qui s'échevela à travers les sapins : à la cime argentée, je reconnus la déesse.
Alors je levai un à un les voiles. Dans l'allée, en agitant les bras. Par la plaine, où je l'ai dénoncée au coq. A la grand'ville elle
fuyait parmi les clochers et les dômes, et courant comme un mendiant sur les quais de marbre, je la chassais.
En haut de la route, près d'un bois de lauriers, je l'ai entourée avec ses voiles amassés, et j'ai senti un peu son immense corps. L'aube et l'enfant tombèrent au bas du bois.
Au réveil il était midi.
VOICI LES QUESTIONS :
1. Comparez la première et la dernière phrase: comment se répondent-elles (évolution, forme, rythme)?
2. Montrez que le récit suit une progression chronologique et spatiale.
3.Comment peut-on qualifier ici la nature décrite ici par le poète?
4.Quelle relation entretient-il avec la nature?
5. Expliquez pourquoi il s'agit d'un poème en prose. Montrez comment il convient particulièrement au thème traité par le poète
Merci d'avance à vous tous pour votre aide
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Réponse :
1. " J'ai embrassé l'aube d'été" et "Au réveil il était midi".
On comprend qu'il s'agit d'un rêve.
2. le récit suit une progression chronologique puisqu'ici suit la promenade matinale du poète. Et le réveil de la nature commence au ras du sol avec la rosée, l'eau, le sentier, les fleurs puis on d'élève aux sapins et au clocher et son coq.
3. La nature décrite par le poète est précieuse (allusion aux pierreries) et elle est comme animée, la fleur parle. Il y a comme une personnification de cette nature vivante.
4. Le poète regarde, parle à la nature., il rit avec le ruisseau. Il y a communication, échange, connivence.
5. Un poème en prose n'est pas disposé en vers mais il évoque un sujet poétique, choisit ses mots, ses images et donne à la phrase des inflexions agréables et des sonorités qui charment l'oreille.
Explications :