Bonjour à tous, je dois faire un texte cohérent d'une 15 de lignes maxi en employant IMPÉRATIVEMENT les mots: extraordinaire, immerger, kinésithérapeute, morphologie, octogénaire, apnée, hexagone et biographie. MERCI PAR AVANCE
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shag Comme c'est extraordinaire de pouvoir s'immerger dans cette eau claire et de s'amuser à y rester quelques minutes en apnée. Ce n'est pas du tout évident au départ de se laisser aller, surtout quand on arrive à un âge avancé et que l' on est un octogénaire endurcicomme moi. De plus, je pensais que ma morphologie à cause de son aspect , ne m'aiderait pas du tout. Mais mon kinésithérapeute m'a vivement conseillé de pratiquer cette activité afin de me sentir mieux et en total harmonie avec mon corps. J'ai bien fais d'ailleurs de suivre ses conseils, car depuis je me rends régulièrement à la piscine, c'est devenu un besoin. Je me surprends physiquement et moralement reprendre confiance et j'ai la sensation de ne pas avoir mon âge. Même l'image que j'avais de mon corps auparavant a totalement changée. Lorsque je me plonge sous cette eau qui me porte et dans laquelle je m'abandonne, je me surprends à me sentir léger et complètement libre de mes faits et gestes. Je pense même que je vais écrire une biographie sur mon vécu afin d'aider toutes les personnes qui sont dans le même cas que moi et pourquoi pas aider aussi celles qui se trouveront à l'autre bout de l'exagone. C'est assez bizarre, mais je me sens revivre.
Voilà, j'espère que ça te convient :)
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viollette
c'est un bon début mais vous ne m'avez mis qu'un mot sur les huit......
Cette maladie qui me coûte chaque jour, cette maladie qui m’empêche de vivre normalement, je me souviens lorsqu'on ma annoncé que ma morphologie avait un problème. J'avais rendez vous avec le kinésithérapeute pour un mal de dos particulier, j'avais quelques inquiétudes ; je pensais que cela était dû au sport que je pratiquais intensivement ; la danse. Au premier abord, le médecin était très aimable, il s'est d'abord plaint sur le fait que cela devenait très difficile d'exercer son métier dans l'hexagone et qu'il allait sans doute immigrer vers la suisse, j'ai plaisanté avec lui pour relâcher la pression. Puis il a examiné mon dos en grimaçant. Cela ne présageait rien de bon, et j’étais tellement inquiète que c'est en apnée que j'ai attendu qu'il finisse de m'ausculter. Il s'est releve et m'a annoncé : tu as une scoliose. J'ai alors fondue en larmes, mon professeur de danse nous avait parlé de cette inquiétante maladie qui persécutait les ballerines, nous avions même étudié un livre à l'école ou un homme parlait de comment il avait pu vaincre, de façon extraordinaire, cette plaie.
Je me suis alors dit que cela m'arrivait peut être. Mais le kinésithérapeute a aussitôt ruiné mon seul espoir en m'annonçant que c’était incurable, que je devrais bientôt marcher sur une chaise roulant, et qu'il était impensable que je continue la danse.En sortant du cabinet, le visage baigné de larmes,je me sentais comme une octogénaire condamnée à l'infirmité.
Aujourd'hui, dix ans après, je suis immobilisé dans mon fauteuil roulant et je ne pense jamais immerger de ce mal profond.
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Comme c'est extraordinaire de pouvoir s'immerger dans cette eau claire et de s'amuser à y rester quelques minutes en apnée.
Ce n'est pas du tout évident au départ de se laisser aller, surtout quand on arrive à un âge avancé et que l' on est un octogénaire endurci comme moi.
De plus, je pensais que ma morphologie à cause de son aspect , ne m'aiderait pas du tout. Mais mon kinésithérapeute m'a vivement conseillé de pratiquer cette activité afin de me sentir mieux et en total harmonie avec mon corps.
J'ai bien fais d'ailleurs de suivre ses conseils, car depuis je me rends régulièrement à la piscine, c'est devenu un besoin.
Je me surprends physiquement et moralement reprendre confiance et j'ai la sensation de ne pas avoir mon âge. Même l'image que j'avais de mon corps auparavant a totalement changée. Lorsque je me plonge sous cette eau qui me porte et dans laquelle je m'abandonne, je me surprends à me sentir léger et complètement libre de mes faits et gestes.
Je pense même que je vais écrire une biographie sur mon vécu afin d'aider toutes les personnes qui sont dans le même cas que moi et pourquoi pas aider aussi celles qui se trouveront à l'autre bout de l'exagone. C'est assez bizarre, mais je me sens revivre.
Voilà, j'espère que ça te convient :)
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Cette maladie qui me coûte chaque jour, cette maladie qui m’empêche de vivre normalement, je me souviens lorsqu'on ma annoncé que ma morphologie avait un problème. J'avais rendez vous avec le kinésithérapeute pour un mal de dos particulier, j'avais quelques inquiétudes ; je pensais que cela était dû au sport que je pratiquais intensivement ; la danse. Au premier abord, le médecin était très aimable, il s'est d'abord plaint sur le fait que cela devenait très difficile d'exercer son métier dans l'hexagone et qu'il allait sans doute immigrer vers la suisse, j'ai plaisanté avec lui pour relâcher la pression. Puis il a examiné mon dos en grimaçant. Cela ne présageait rien de bon, et j’étais tellement inquiète que c'est en apnée que j'ai attendu qu'il finisse de m'ausculter. Il s'est releve et m'a annoncé : tu as une scoliose. J'ai alors fondue en larmes, mon professeur de danse nous avait parlé de cette inquiétante maladie qui persécutait les ballerines, nous avions même étudié un livre à l'école ou un homme parlait de comment il avait pu vaincre, de façon extraordinaire, cette plaie.Je me suis alors dit que cela m'arrivait peut être. Mais le kinésithérapeute a aussitôt ruiné mon seul espoir en m'annonçant que c’était incurable, que je devrais bientôt marcher sur une chaise roulant, et qu'il était impensable que je continue la danse.En sortant du cabinet, le visage baigné de larmes,je me sentais comme une octogénaire condamnée à l'infirmité.
Aujourd'hui, dix ans après, je suis immobilisé dans mon fauteuil roulant et je ne pense jamais immerger de ce mal profond.