Bonjour à tous , lundi je passe mon oral du bac de Français. J'ai eu un mauvais professeur je n'ai fait que deux explication linéaire sur sept. j'ai réussi a en faire 6 mais il men reste une et je bloque totalement . Celle-ci est sur voyage au centre de la terre de jules verne chapitre 27. voici ce que j'ai fait pour l'instant j'espère qu'on pourra vraiment m'aider.
1. Dans la première partie, tu devrais commencer par l'atmosphère : terreurs/angoisse. Le personnage dit JE, tout l'extrait est en focalisation interne et il va chercher autant qu'il le peut de garder un semblant de lueur. Espèce de tête à tête : JE/ELLE. Sa peut s'accrît à esure que loa lumière décroît.
Ensuite tu enchaînes avec les figures de style qui viendront illustrer ton propos.
2. De l'angoisse, à la terreur et à la panique. Maintenant, c'est le corps qui réagit, comme un instinct de survie. (De la tête, au corps) Il y a la course. Il faut relever tous les verbes d'action. Phrases longues qui créent un essoufflement à la lecture (noter les participes présents). Le labyrinthe est symbole, de lieu sans repères. L'image du sang ajoute à l'impression de danger. la violence de la situation conduit le narrateur à utiliser des exclamatives, des interrogatives jusqu'à la perte de conscience finale, un épuisement de la raison et du corps.
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niogret2m
fautes de frappe : sa peur s'accroît à mesure que la lumière décroît
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1. Dans la première partie, tu devrais commencer par l'atmosphère : terreurs/angoisse. Le personnage dit JE, tout l'extrait est en focalisation interne et il va chercher autant qu'il le peut de garder un semblant de lueur. Espèce de tête à tête : JE/ELLE. Sa peut s'accrît à esure que loa lumière décroît.
Ensuite tu enchaînes avec les figures de style qui viendront illustrer ton propos.
2. De l'angoisse, à la terreur et à la panique. Maintenant, c'est le corps qui réagit, comme un instinct de survie. (De la tête, au corps) Il y a la course. Il faut relever tous les verbes d'action. Phrases longues qui créent un essoufflement à la lecture (noter les participes présents). Le labyrinthe est symbole, de lieu sans repères. L'image du sang ajoute à l'impression de danger. la violence de la situation conduit le narrateur à utiliser des exclamatives, des interrogatives jusqu'à la perte de conscience finale, un épuisement de la raison et du corps.