January 2021 1 163 Report
Bonjour à tous svp qui peut m'expliquer ce texte svp c'est trésor intéressant pour moi
Three armed robbers stole two Pablo Picasso prints from an art museum in downtown Sao Paulo on Thursday, the city's second high-profile art theft in less than a year. The bandits also took two oil paintings by well-known Brazilian artists Emiliano Di Cavalcanti and Lasar Segall, said Carla Regina, a spokeswoman for the Pinacoteca do Estado museum.

The Picasso prints stolen were "The Painter and the Model" from 1963 and "Minotaur, Drinker and Women" from 1933, according to a statement from the Sao Paulo Secretary of State for Culture, which oversees the museum. The prints and paintings have a combined value of $612,000, the statement and a museum official said.

About noon, three armed men paid the $2.45 entrance fee and immediately went to the second-floor gallery where the works were being exhibited, bypassing more valuable pieces, authorities said. "This indicates to us that they probably received an order" to take those specific works, Youssef Abou Chain, head of Sao Paulo's organized crime unit, told reporters at a news conference. The assailants overpowered three unarmed museum guards and grabbed the works, officials said. The robbery took about 10 minutes and the museum was nearly empty at the time. The assailants took the pieces — frames and all — out of the museum in two bags. The institution has no metal detectors.

In December, Picasso's "Portrait of Suzanne Bloch" and "O Lavrador de Cafe" by Candido Portinari, an influential Brazilian artist, were stolen from the Sao Paulo Museum of Art by three men who used a crowbar and car jack to force open one of the museum's steel doors.The framed paintings were found Jan. 8, covered in plastic and leaning against a wall in a house on the outskirts of Sao Paulo, South America's largest city. One of the suspects in that heist — a former TV chef — turned himself over to police in January, who already had two suspects in custody.

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bonsoir svp j'ai besoin de votre aide dans ces exercice c'est un texte de eric fottorino je me suis bloqué dans ces questions merci d'avoir m'aider et merci d'avance Père et fils Le narrateur passe ses vacances à Royan (en Charente-Maritime) avec sa mère et son beau-père Michel Fottorino, qui l’a adopté. Il est d’autant mieux devenu mon père que, de toutes mes forces et de toutes mes peurs, j’ai voulu devenir son fils. [...] Cette fois nous nageons. Plutôt je me noie sans m’en apercevoir. J’ai dix ans, nous sommes à la Pointe Espagnole, en famille un dimanche d’été, baignade non surveillée. Ma petite planche en bois, le nez dressé pour prendre les vagues, glisse vers le large. Les courants m’emportent. Je n’entends pas vos cris. Je m’éloigne. Je n’ai pas la moindre idée du danger. Quand je lutterai pour revenir vers le rivage, ce sera trop tard. Je revois très précisément mon père à travers le rideau épais des années. Il s’est élancé du bord et a plongé comme un javelot, tête la première. Soudain entre la crête des vagues, il est là. Comment a-t-il fait pour me rejoindre si vite? Il parle calmement, n’a pas le souffle coupé. Il doit avoir la force de Johnny Weissmuller dans Tarzan. Pour maman là-bas sur le sable, nous ne sommes que deux petits points dans un gouffre bleu. Je la vois qui court puis s’effondre, son ventre rond en avant car il y a François dedans, mon cadeau d’anniversaire pour le mois d’août. C’est une scène sans paroles, seulement bruitée par la houle. Je devine que maman pleure, qu’elle nous voit déjà par le fond, papa et moi. Des gens l’entourent. Elle tient son visage entre ses mains. Mon père, serein, continue de me parler, il m’invite à bien respirer, à rester tranquille. Mais je ne suis pas affolé puisqu'il est là. La confiance est une forme d’inconscience. Après, je saurai que chaque année des enfants et aussi des adultes périssent dans ces courants. Je n’ai pas eu peur, mon père m’a rejoint, on est revenus sans encombre sur le sable. On avait dérivé loin des serviettes et de ma mère paniquée. Sauvés. Mon père a son petit sourire, il nous console. Il y a bien assez d’eau salée dans l’océan, pourquoi le grossir de nos larmes. Pour oublier nos frayeurs, Zoune préparera un «complet poisson » si parfumé qu’on sucera jusqu’aux arêtes, on mangera des sorbets de chez le glacier Judici, des sucres d’orge dont la pâte pend comme un long serpent paresseux au dessus des tables de marbre du confiseur Tamisier. Dès le lendemain on se retrouvera sur la plage de Pontaillac. Eric Fottorino, L'homme qui m'aimait tout bas, Gallimard 1) Lire le paratexte et les deux premiers paragraphes du texte 2) Où se passe la scène ? 3) Que fait, au début du texte, le personnage principal ? 4) Que lui arrive-t-il ? 5) Que font ses parents ? 1) Lire l'ensemble du paratexte et du texte. 2) Montrez que le père est considéré par l'enfant comme un véritable héros ; justifiez. 3) Montrez que l'auteur est présent dans le texte comme étant devenu un adulte : donnez des exemples. 4) Pourquoi peut-on dire que le récit est autobiographique ? 5) Quel sens donnez- vous au titre du roman de Fottorino ?
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