Bonjour à tous vous pouvez m'aider pour mon md de français s'il vous plaît c'est trop urgent moi j'arrive pas donc voilà les questions et merci bcp
1 . Lisez §1. Quelle impression avez-vous de l'exposition
2.Faites le décompte précis de la ponctuation (nombre de virgules,de points,de tirets ).
Que remarquez vous ?
Comparer cette remarque avec votre réponse à la question 1 .
3.Lisez §2 . Trouvez une anaphore
Quel effet l'auteur a-t-il de chercher à produire
4. Réaliser la description de la Tour ( à partir de<< qui passait de là-haut, du porche du Trocadéro...>>). Est- elle conformer au jugements de Paulette? Relevez un mot justifiant votre réponse
Tu m'as demandé une aide sur ce devoir.... Voici ce que je te propose :
1) Je reconnais cette caractéristique d'incipit qui commence par une phrase courte qui ne signifie rien de précis suivie d'une description longue et superbe de Paris lors... de l'exposition universelle de 1889.
Je parie sur "Les Voyageurs de l’Impériale" de Louis Aragon, l'exposition est caractéristique du mode d’introduction romanesque d’Aragon.
2) Sur la première page on relève : Nombre de points : 5 Nombre de virgules : 38 Nombre de tirets : 2 (je te laisse compter la ponctuation sur la deuxième page...)
Que remarquez vous ? Le nombre important de virgules est impressionnant et laisse supposer des énumérations, des successions, des descriptions, etc..
Comparer cette remarque avec votre réponse à la question 1] Les mots séparés par des virgules donne à la phrase une impression saccadée qui à son tour donne une remarquable impression de mouvement et met en exergue (illustre) la diversité de la foule.
3) L'anaphore est l'expression "quelle horreur" exprimée par le personnage Paulette à plusieurs reprises en début de phrase. (3 fois)
4) Réaliser la description de la Tour ( à partir de "qui pensait de là-haut, du porche du Trocadéro..."). - La tour est décrite comme étant particulièrement laide par les protagonistes Mr Mercadier qui la qualifie de "goût américain" et Paulette comme une "horreur", - La tour est présentée par Aragon comme un bijou dans son écrin de "nuages roses" , éclairée par une "lumière déchirée" dans le "ciel ébloui" par sa beauté sous entendue. En 1957, Louis Aragon a d'ailleurs écrit un poème "La tour parle". - La tour est également personnifiée par l'auteur, elle est présentée comme si elle était habillée d'une robe à corbeille en "dentelle d'acier" avec son "chapeau de verre", ainsi la tour apparaît comme une grand dame "trouant le ciel" ce qui suppose, outre sa taille, une noble élégance. Est- elle conforme au jugement de Paulette? Pour l'auteur la tour n'est pas conforme au "jugement" de Paulette qui ne cesse de s'écrier "quelle horreur !".
Relevez un mot justifiant votre réponse : le mot qui confirme le jugement de Paulette est "monstre" :"... excepté à ce monstre aux pattes écartées..."
Par contre, l'auteur infirme le jugement de Paulette et présente au contraire la Tour comme étant élégante : son "chapeau de verre" là-haut, tout là-haut, dans les nuages roses... L'auteur admire l'oeuvre, sa conception et sa réalisation : "Qui pensait de là-haut, ...... qui pensait à quoi que ce fût, …qui pouvait penser à autre chose qu’à cette tour de trois cents mètres, dont on avait tant parlé, tant médit, mais dont rien n’avait donné l’idée, l’ombre de l’ombre de l’idée…"
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Bonjour,Tu m'as demandé une aide sur ce devoir.... Voici ce que je te propose :
1) Je reconnais cette caractéristique d'incipit qui commence par une phrase courte qui ne signifie rien de précis suivie d'une description longue et superbe de Paris lors... de l'exposition universelle de 1889.
Je parie sur "Les Voyageurs de l’Impériale" de Louis Aragon, l'exposition est caractéristique du mode d’introduction romanesque d’Aragon.
2) Sur la première page on relève :
Nombre de points : 5
Nombre de virgules : 38
Nombre de tirets : 2
(je te laisse compter la ponctuation sur la deuxième page...)
Que remarquez vous ? Le nombre important de virgules est impressionnant et laisse supposer des énumérations, des successions, des descriptions, etc..
Comparer cette remarque avec votre réponse à la question 1] Les mots séparés par des virgules donne à la phrase une impression saccadée qui à son tour donne une remarquable impression de mouvement et met en exergue (illustre) la diversité de la foule.
3) L'anaphore est l'expression "quelle horreur" exprimée par le personnage Paulette à plusieurs reprises en début de phrase. (3 fois)
4) Réaliser la description de la Tour ( à partir de "qui pensait de là-haut, du porche du Trocadéro...").
- La tour est décrite comme étant particulièrement laide par les protagonistes Mr Mercadier qui la qualifie de "goût américain" et Paulette comme une "horreur",
- La tour est présentée par Aragon comme un bijou dans son écrin de "nuages roses" , éclairée par une "lumière déchirée" dans le "ciel ébloui" par sa beauté sous entendue. En 1957, Louis Aragon a d'ailleurs écrit un poème "La tour parle".
- La tour est également personnifiée par l'auteur, elle est présentée comme si elle était habillée d'une robe à corbeille en "dentelle d'acier" avec son "chapeau de verre", ainsi la tour apparaît comme une grand dame "trouant le ciel" ce qui suppose, outre sa taille, une noble élégance.
Est- elle conforme au jugement de Paulette?
Pour l'auteur la tour n'est pas conforme au "jugement" de Paulette qui ne cesse de s'écrier "quelle horreur !".
Relevez un mot justifiant votre réponse : le mot qui confirme le jugement de Paulette est "monstre" :"... excepté à ce monstre aux pattes écartées..."
Par contre, l'auteur infirme le jugement de Paulette et présente au contraire la Tour comme étant élégante : son "chapeau de verre" là-haut, tout là-haut, dans les nuages roses...
L'auteur admire l'oeuvre, sa conception et sa réalisation : "Qui pensait de là-haut, ...... qui pensait à quoi que ce fût, …qui pouvait penser à autre chose qu’à cette tour de trois cents mètres, dont on avait tant parlé, tant médit, mais dont rien n’avait donné l’idée, l’ombre de l’ombre de l’idée…"