Réponse :
CHAPITRE 6
Miss Betty installe Antoinette pour la nuit. La jeune fille
est très angoissée des suites de son geste : « Toute la
semaine, elle avait attendu une catastrophe qui engloutirait le monde à temps pour que rien ne fût découvert. »
(p. 68) Elle se moque cependant que la faute retombe
surMiss Betty, qui a menti en confirmant avoir posté les
invitations. Lorsqu’elle traverse le corridor richement
décoré où s’entassent les victuailles, elle remarque que les
domestiques rient sous cape de cet étalage ostentatoire
de luxe.
À 22 heures, le premier invité s’annonce : c’est Mlle Isabelle.
Mme Kampf refuse qu’on dérange la table pour lui servir du caviar. Elle commence à s’inquiéter du retard des
autres convives. Pour passer le temps, M. Kampf danse
avec Isabelle tandis que son épouse guette nerveusement les fenêtres. À 23 h 30, hystérique, elle déclare :
« Il n’y aura pas de bal, il n’y aura rien. » (p. 82) Isabelle
se retire, désolée. Le couple s’insulte alors violemment,
se rejetant mutuellement la faute. M. Kampf quitte la
maison et son épouse arrache tous ses bijoux. Antoinette
assiste à la scène avec indifférence : « Comment peuton pleurer ainsi, à cause de ça… Et l’amour ? » (p. 87),
- 10 -
se demande-t-elle. Elle s’approche de sa mère : celle-ci
la rabroue, puis finit par déclarer, vaincue, qu’elle a sans
doute été la victime de gens qui la méprisaient de ne pas
être de leur monde. Elle prend alors sa fille dans ses bras
et murmure : « Je n’ai que toi […]. Tu es une bonne fille,
Antoinette… » (p. 89)
Explications : voilà le résumer du chapitre 6 de ton livre !
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Réponse :
CHAPITRE 6
Miss Betty installe Antoinette pour la nuit. La jeune fille
est très angoissée des suites de son geste : « Toute la
semaine, elle avait attendu une catastrophe qui engloutirait le monde à temps pour que rien ne fût découvert. »
(p. 68) Elle se moque cependant que la faute retombe
surMiss Betty, qui a menti en confirmant avoir posté les
invitations. Lorsqu’elle traverse le corridor richement
décoré où s’entassent les victuailles, elle remarque que les
domestiques rient sous cape de cet étalage ostentatoire
de luxe.
À 22 heures, le premier invité s’annonce : c’est Mlle Isabelle.
Mme Kampf refuse qu’on dérange la table pour lui servir du caviar. Elle commence à s’inquiéter du retard des
autres convives. Pour passer le temps, M. Kampf danse
avec Isabelle tandis que son épouse guette nerveusement les fenêtres. À 23 h 30, hystérique, elle déclare :
« Il n’y aura pas de bal, il n’y aura rien. » (p. 82) Isabelle
se retire, désolée. Le couple s’insulte alors violemment,
se rejetant mutuellement la faute. M. Kampf quitte la
maison et son épouse arrache tous ses bijoux. Antoinette
assiste à la scène avec indifférence : « Comment peuton pleurer ainsi, à cause de ça… Et l’amour ? » (p. 87),
- 10 -
se demande-t-elle. Elle s’approche de sa mère : celle-ci
la rabroue, puis finit par déclarer, vaincue, qu’elle a sans
doute été la victime de gens qui la méprisaient de ne pas
être de leur monde. Elle prend alors sa fille dans ses bras
et murmure : « Je n’ai que toi […]. Tu es une bonne fille,
Antoinette… » (p. 89)
Explications : voilà le résumer du chapitre 6 de ton livre !