2. Le malaise du narrateur s'exprime par des exclamatives, des interrogatives.
3. Le premier paragraphe montre une campagne détestée, un temps épouvantable, la boue, le vent et la guerre et ses morts.
Univers horrible.
4. Une interminable énumération qui crée un effet d'accumulation.
Ecrire :
Rien n'est plus effroyable que ces raids aériens, que ces bombes larguées sur les villages, le bruit des détonations qui viennent de partout, les obus qui éventrent les immeubles. Et les cris, et les pleurs. Et au milieu des ruines fumantes, des fantômes hagards. La guerre est un spectacle épouvantable. C'est une horreur !
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Réponse :
1. Le narrateur a peur : "frousse, panique".
2. Le malaise du narrateur s'exprime par des exclamatives, des interrogatives.
3. Le premier paragraphe montre une campagne détestée, un temps épouvantable, la boue, le vent et la guerre et ses morts.
Univers horrible.
4. Une interminable énumération qui crée un effet d'accumulation.
Ecrire :
Rien n'est plus effroyable que ces raids aériens, que ces bombes larguées sur les villages, le bruit des détonations qui viennent de partout, les obus qui éventrent les immeubles. Et les cris, et les pleurs. Et au milieu des ruines fumantes, des fantômes hagards. La guerre est un spectacle épouvantable. C'est une horreur !
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