Sa rêverie l’entraîne « sur les routes de Bohème et les sapins sous la neige », « les veillées près du feu et les danses des femmes et Il ‘imagine la vie de de tzigane, leur vie, « leur errance de village en village, les souffrances, les privations, les insultes, le froid, la faim, et a solitude ». Il voit très bien dans ses rêveries les bonheurs simples de ces gens « une porte qui s’ouvre » qui réconforte, « la chaleur d’un foyer, les sourires, la générosité des villageois, la musique qui réchauffe les cœurs, les rires, ‘amour parfois. ». Cette vie de bohème a des inconvénients mais aussi bien des avantages humains.
b. figure de style : accumulation. Cela crée une amplification de tout ce dont est fait la vie de tsigane, avec ses aléas, ses joies, ses rigueurs.
5. cette expression peut paraître étrange dans le sens où les yeux ne dégagent pas de chaleur.
Cette expression signifie que, lorsque Johannes regardait le violoniste, ses yeux étaient rivés sur lui, il n’avait d’yeux que pour lui et sa musique, il était fasciné, transporté, envoûté et il admirait ce musicien. Il lui vouait un véritable culte en cet instant. Et ce regard valait bien toutes les piécettes du monde pour le musicien, ce regard l’a réconforté, l’a émerveillé, il a senti dans ce regard tant de chaleur, de reconnaissance, qu’il a ému le musicien
6. Selon vous à quoi voit-on que Johannes se prédestine à une carrière de musicien ?
trois arguments :
- Johannes entendait mieux que quiconque la voix du violon
- il avait saisi le message
- il sut que cette langue était la sienne
A toi de rédiger !
7.image que le peintre a voulu donner au violoniste – rapprochement avec le texte
Le peintre a voulu donner une dimension grandiose au violoniste qui surplombe un petit village. Il donne de la joie, avec sa musique endiablée et semble heureux de danser sur les toits et de donner une joie de vivre à ce village enneigé. Un sentiment de liberté émane aussi de cette œuvre. Libre de vivre sa bohème, libre de tout attachement, libre d’aller et de venir au gré des envies.
Cela nous rappelle la description faite de la vie des tsiganes (l19 à 22), cette vie difficile avec ses côtés agréables par moment, et difficiles dans d’autres.
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bonjour
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4.Où la rêverie de Johannes le mène-t-il ?
Sa rêverie l’entraîne « sur les routes de Bohème et les sapins sous la neige », « les veillées près du feu et les danses des femmes et Il ‘imagine la vie de de tzigane, leur vie, « leur errance de village en village, les souffrances, les privations, les insultes, le froid, la faim, et a solitude ». Il voit très bien dans ses rêveries les bonheurs simples de ces gens « une porte qui s’ouvre » qui réconforte, « la chaleur d’un foyer, les sourires, la générosité des villageois, la musique qui réchauffe les cœurs, les rires, ‘amour parfois. ». Cette vie de bohème a des inconvénients mais aussi bien des avantages humains.
b. figure de style : accumulation. Cela crée une amplification de tout ce dont est fait la vie de tsigane, avec ses aléas, ses joies, ses rigueurs.
5. cette expression peut paraître étrange dans le sens où les yeux ne dégagent pas de chaleur.
Cette expression signifie que, lorsque Johannes regardait le violoniste, ses yeux étaient rivés sur lui, il n’avait d’yeux que pour lui et sa musique, il était fasciné, transporté, envoûté et il admirait ce musicien. Il lui vouait un véritable culte en cet instant. Et ce regard valait bien toutes les piécettes du monde pour le musicien, ce regard l’a réconforté, l’a émerveillé, il a senti dans ce regard tant de chaleur, de reconnaissance, qu’il a ému le musicien
6. Selon vous à quoi voit-on que Johannes se prédestine à une carrière de musicien ?
trois arguments :
- Johannes entendait mieux que quiconque la voix du violon
- il avait saisi le message
- il sut que cette langue était la sienne
A toi de rédiger !
7.image que le peintre a voulu donner au violoniste – rapprochement avec le texte
Le peintre a voulu donner une dimension grandiose au violoniste qui surplombe un petit village. Il donne de la joie, avec sa musique endiablée et semble heureux de danser sur les toits et de donner une joie de vivre à ce village enneigé. Un sentiment de liberté émane aussi de cette œuvre. Libre de vivre sa bohème, libre de tout attachement, libre d’aller et de venir au gré des envies.
Cela nous rappelle la description faite de la vie des tsiganes (l19 à 22), cette vie difficile avec ses côtés agréables par moment, et difficiles dans d’autres.