1. les inconvenances : des détails vestimentaires (« ni se décolleter abondamment, ni porter des jupes courtes, ni teindre ses cheveux, ni les couper, ni se maquiller) certaines attitudes (ni se vautrer sur un divan), des exhibitions ( ni embrasser son mari dans les couloirs du métro).
Aujourd’hui ces « inconvenances » sont d’un siècle passé !
2. « une femme d’un mauvais genre » est une femme qui ne suit pas les convenances édictées par la société, c’est aussi ne pas avoir une apparence dite distinguée.
3. le discours du père : pour le père, Simone est un homme, il fonde ses dires sur l’intelligence de Simone, elle « a un cerveau d’homme », donc il s’agit d’une discrimination sexiste, d’après lui comme elle a un cerveau d’homme elle ne se conduira pas comme une femme « d’un mauvais genre »
4. connecteur logique « pourtant »
Bien que Simone ait un « cerveau d’homme », on la traitait comme une fille
5. Elle est frustrée, elle se sent étouffé (« confinait dans une nursery »). Elle se sent exclue (« ils étaient au courant des vrais problèmes », « je me sentais en exil »), elle ressent un manque de connaissances (« mes vieilles institutrices ne me la communiquaient qu’expurgée, affadie, défraîchie »), elle se sent prisonnière (« on me retenait en cage »), on ne lui donnait que des informations sans importances réelles (« on me nourrissait d’ersatz »).
La jeune fille a pourtant espoir en son avenir : « je faisais confiance à mon avenir ». Des femmes avaient déjà prouvé par leur talent, leur savoir, qu’elles étaient capables et « s’étaient taillé leur place dans l’univers des hommes ». Pourtant elle est impatiente et voudrait que cela aille plus vite pour elle « je m’impatientais de ce retard qu’on m’imposait. »
Sorte de modèle que Simone de Beauvoir tente d’échapper : une vie sans vraie culture intellectuelle, une vie sans participation aux décisions finales.
Concernant Annie Emaux, je n'ai pas le texte je pense que tu réussiras à trouver !
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farah41
Bonjour merci beaucoup c’est très gentil et je viens de m’en rendre compte que je n’ai pas mit le texte de Annie émaux si je le met vous pourrez répondre à la dernière questions sinon c’est pas grave merci énormément je m’y attendais pas que quelqu’un me répondrait merci encore
farah41
et allez voir j'ai reposter la questions avec le texte de Annie émaux si vous pouvez y répondre merci et bonne soirée
Lista de comentários
Réponse :
bonjour
Explications :
voci des éléments pour t'aider dans ton devoir
1. les inconvenances : des détails vestimentaires (« ni se décolleter abondamment, ni porter des jupes courtes, ni teindre ses cheveux, ni les couper, ni se maquiller) certaines attitudes (ni se vautrer sur un divan), des exhibitions ( ni embrasser son mari dans les couloirs du métro).
Aujourd’hui ces « inconvenances » sont d’un siècle passé !
2. « une femme d’un mauvais genre » est une femme qui ne suit pas les convenances édictées par la société, c’est aussi ne pas avoir une apparence dite distinguée.
3. le discours du père : pour le père, Simone est un homme, il fonde ses dires sur l’intelligence de Simone, elle « a un cerveau d’homme », donc il s’agit d’une discrimination sexiste, d’après lui comme elle a un cerveau d’homme elle ne se conduira pas comme une femme « d’un mauvais genre »
4. connecteur logique « pourtant »
Bien que Simone ait un « cerveau d’homme », on la traitait comme une fille
5. Elle est frustrée, elle se sent étouffé (« confinait dans une nursery »). Elle se sent exclue (« ils étaient au courant des vrais problèmes », « je me sentais en exil »), elle ressent un manque de connaissances (« mes vieilles institutrices ne me la communiquaient qu’expurgée, affadie, défraîchie »), elle se sent prisonnière (« on me retenait en cage »), on ne lui donnait que des informations sans importances réelles (« on me nourrissait d’ersatz »).
La jeune fille a pourtant espoir en son avenir : « je faisais confiance à mon avenir ». Des femmes avaient déjà prouvé par leur talent, leur savoir, qu’elles étaient capables et « s’étaient taillé leur place dans l’univers des hommes ». Pourtant elle est impatiente et voudrait que cela aille plus vite pour elle « je m’impatientais de ce retard qu’on m’imposait. »
Sorte de modèle que Simone de Beauvoir tente d’échapper : une vie sans vraie culture intellectuelle, une vie sans participation aux décisions finales.
Concernant Annie Emaux, je n'ai pas le texte je pense que tu réussiras à trouver !