Explications : Les bananeraies peuvent être cultivées de manière intensive, ce qui peut entraîner une dégradation des sols, une pollution de l’eau et une perte de la biodiversité. Les bananes sont souvent cultivées dans des zones tropicales, où les conditions climatiques sont favorables à la prolifération de parasites et de maladies. Pour lutter contre ces menaces, les agriculteurs peuvent utiliser des pesticides et des herbicides, qui peuvent avoir des effets néfastes sur l’environnement et la santé humaine.
Une étude comparative menée en Martinique et au Costa Rica a montré que la gestion des conséquences environnementales de la filière bananière était meilleure en Martinique, où l’utilisation de produits phytosanitaires était plus limitée et la gestion des déchets organiques et non organiques était plus efficace. Cependant, l’étude a également souligné la fragilité de l’écosystème insulaire martiniquais en comparaison à celui des grandes plaines de la façade atlantique du Costa Rica.
PS: Il est important de noter que certaines initiatives visent à promouvoir une culture bananière plus responsable, en limitant l’utilisation de pesticides et en favorisant des pratiques agricoles durables.
Voila, j'espère que c'est assez clair et que cela répond à ta question !!
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Réponse : J'essai au plus clair:
Explications : Les bananeraies peuvent être cultivées de manière intensive, ce qui peut entraîner une dégradation des sols, une pollution de l’eau et une perte de la biodiversité. Les bananes sont souvent cultivées dans des zones tropicales, où les conditions climatiques sont favorables à la prolifération de parasites et de maladies. Pour lutter contre ces menaces, les agriculteurs peuvent utiliser des pesticides et des herbicides, qui peuvent avoir des effets néfastes sur l’environnement et la santé humaine.
Une étude comparative menée en Martinique et au Costa Rica a montré que la gestion des conséquences environnementales de la filière bananière était meilleure en Martinique, où l’utilisation de produits phytosanitaires était plus limitée et la gestion des déchets organiques et non organiques était plus efficace. Cependant, l’étude a également souligné la fragilité de l’écosystème insulaire martiniquais en comparaison à celui des grandes plaines de la façade atlantique du Costa Rica.
PS: Il est important de noter que certaines initiatives visent à promouvoir une culture bananière plus responsable, en limitant l’utilisation de pesticides et en favorisant des pratiques agricoles durables.
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