Bonjour ,aidez s'il vous plaît moi c'est un devoir à rendre et je ne sais pas faire des métaphores ni comparaisons.
Question:
Evoquez, à votre tour, la violence des combats en un paragraphe. Vous utiliserez le vocabulaire étudié et des comparaisons ou des métaphores animales.
Salut ! J'espère ne pas t'avoir répondu trop tard...
Pour t'aider, voici quelques idées, en prenant appui sur les combats pendant les guerres : " On tira le premier coup ; comme un gong annonçant le début de la bataille. Aussitôt, dans une furie ineffable, tous se précipitèrent, répondant à l'appel du sang. Les balles fusaient, plus brutales que des lions en cage ; les cris commencèrent à retentir dans une férocité inouïe. L'eau de ciel se déchaîna sur nous, le bruit du tonnerre se mêla aux hurlements de douleur et de terreur. Tels des animaux, dépourvus de toute humanité, nous fonçâmes sur le camp adverse lorsque le combat atteignit son paroxysme. Un mélange de haine et de colère manquaient de dévorer mes entrailles, mais la frénésie de la bataille et l'horreur du massacre me possédaient, incapable de m'en libérer. Je ne me souviens que de l'animosité des assauts, que des tourbillons de souffrances qui me prenaient aux tripes et manquaient de me les faire vomir. Mais surtout, comme marqué au fer rouge dans ma mémoire, hantant mes nuits les plus sombres, je ne pourrais jamais oublier le sol, plus rouge encore que mon propre sang, celui-là même que le corps de mes camarades, d'amis , d'hommes, jonchaient. "
Voilà quelques idées, j'espère que j'ai pu t'aider. :)
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Salut ! J'espère ne pas t'avoir répondu trop tard...
Pour t'aider, voici quelques idées, en prenant appui sur les combats pendant les guerres : " On tira le premier coup ; comme un gong annonçant le début de la bataille. Aussitôt, dans une furie ineffable, tous se précipitèrent, répondant à l'appel du sang. Les balles fusaient, plus brutales que des lions en cage ; les cris commencèrent à retentir dans une férocité inouïe. L'eau de ciel se déchaîna sur nous, le bruit du tonnerre se mêla aux hurlements de douleur et de terreur. Tels des animaux, dépourvus de toute humanité, nous fonçâmes sur le camp adverse lorsque le combat atteignit son paroxysme. Un mélange de haine et de colère manquaient de dévorer mes entrailles, mais la frénésie de la bataille et l'horreur du massacre me possédaient, incapable de m'en libérer. Je ne me souviens que de l'animosité des assauts, que des tourbillons de souffrances qui me prenaient aux tripes et manquaient de me les faire vomir. Mais surtout, comme marqué au fer rouge dans ma mémoire, hantant mes nuits les plus sombres, je ne pourrais jamais oublier le sol, plus rouge encore que mon propre sang, celui-là même que le corps de mes camarades, d'amis , d'hommes, jonchaient. "
Voilà quelques idées, j'espère que j'ai pu t'aider. :)