Bonjour, alors j'ai un commentaire de texte à faire, mais pour le deuxième axe, il demande : montrer que le récit est vivant. Tout d'abord je ne comprends pas vivant dans le sens réel ou dans le sens dynamique. Je ne trouve qu'une allitération en -r au premier vers pour le vivant. Parce que le temps ne convient pas à faire vivant vu que c'est du passé simple et imparfait. Aidez moi s'il vous plait. Dites moi ce qui peut rendre un texte vivant.

Voici le texte :

Avec grand bruit et grand fracas Un Torrent tombait des montagnes : Tout fuyait devant lui ; l'horreur suivait ses pas ; Il faisait trembler les campagnes. Nul voyageur n'osait passer Une barrière si puissante : Un seul vit des voleurs, et se sentant presser, Il mit entre eux et lui cette onde menaçante. Ce n'était que menace, et bruit, sans profondeur ; Notre homme enfin n'eut que la peur. Ce succès lui donnant courage, Et les mêmes voleurs le poursuivant toujours, Il rencontra sur son passage Une Rivière dont le cours Image d'un sommeil doux, paisible et tranquille Lui fit croire d'abord ce trajet fort facile. Point de bords escarpés, un sable pur et net. Il entre, et son cheval le met A couvert des voleurs, mais non de l'onde noire : Tous deux au Styx allèrent boire ; Tous deux, à nager malheureux, Allèrent traverser au séjour ténébreux, Bien d'autres fleuves que les nôtres. Les gens sans bruit sont dangereux : Il n'en est pas ainsi des autres.

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AIDEZ MOI SVP ! L'appareil du téléphone                Lorsqu'un  petit  rocher,  lourd  et  noir,  portant  son  homard  en anicroche,  s'établit  dans  une  maison,  celle-ci  doit  subir  l'invasion d'un  rire  aux  accès  argentins,  impérieux  et  mornes.  Sans  doute est-ce celui  de  la  mignonne  sirène  dont  les  deux  seins  sont  en même  temps  apparus  dans  un  coin  sombre  du  corridor,  et  qui produit  son  appel  par  la  vibration  entre  les  deux  d'une  petite cerise de nickel,  y  pendante.Aussitôt,  le  homard  frémit  sur  son  socle.  Il  faut  qu'on  le  décroche : il  a  quelque  chose  à  dire,  on veut  être  rassuré  par  votre  voix.D'autres  fois,  la  provocation  vient  de  vous-même. Quand  vous  y tente  le  contraste  sensuellement  agréable  entre  la  légèreté  du combiné  et  la  lourdeur  du  socle.  Quel  charme  alors d'entendre, aussitôt  la  crustace  détachée,  le  bourdonnement  gai  qui  vous annonce  prêtes  au quelconque  caprice  de  votre  oreille  les innombrables  nervures  électriques  de  toutes  les  villes  du  monde  !Il  faut  agir  le  cadran  mobile,  puis  attendre,  après  avoir  pris  acte de la  sonnerie  impérieuse  qui perfore  votre  patient,  le  fameux  déclic qui  vous  délivre  sa  plainte,  transformée  aussitôt  en  cordiales  oun cérémonieuses  politesses...  Mais  ici  finit  le  prodige  et  commence une  banale  comédie.                Francis  Ponge,  Pièces,  1962.J'ai une écriture d'invention dont le sujet est de rédiger un poème en prose à la manière de Francis Ponge à partir d'un objet. Ou j'en suis ? J'en ai aucune idée de l'objet, je pense à faire des métaphores, comparaison, etc .. Bref, je suis bloquée.
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