April 2019 1 96 Report
.Bonjour alors j'aimerai votre avis sur lequel ressemble le plus a La Bruyère : Merci d'avance

Texte 1 que j'ai fais:

Les hommes et les femmes peuvent
convenir que l'agoraphobie fait partie de l'être humain en son
genre. C'est ce sentiment permanent de la peur que l'on ressent, sans
réellement en montrer le fond . Nous, les personnes souffrant de
cette phobie nous ne sommes guère acceptée dans cette société ou
tout le monde se regarde droit dans les yeux sans se demander
réellement ce à quoi la personne pense, ressent.. cela est dur pour
nous c'est comme si nous n'étions pas nous mêmes. C'est un combat
de tous les jours, vivre dans une société ou le contact avec les
autres est indispensable c'est le plus difficile. Nous tous qui
souffrons de cette phobie, nous ne pouvons point vivre comme les
autres. Dès qu'on se retrouve dans un lieu public entouré de
plusieurs personnes, nous sommes comme paralysé sur place souffrant
de vertiges, de pertes d'équilibre et de difficulté respiratoire.
Tous cela est comme de l'anxiété comme si le monde autour de nous
s’effondrait , comme si la mort nous emportait. Il ne faut pas les
jugées cela pourrait vous arrivés. Vivre dans cette société n'est
pas toujours facile.
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Bonjour alors je dois faire une commentaire littéraire en francais pour vendredi j'aurai besoins que de la problématique svp pouvez-vous m'en trouver une j'ai cherchée mais je ne trouve pas merci d'avance a ceux qui m'aideront voici le texte : MARIANNE. Ne serait-elle point heureuse, Octave, la femme qui t’aimerait ?OCTAVE. Je ne sais point aimer ; Cœlio seul le savait. La cendre que renferme cette tombe est tout ce que j’ai aimé sur la terre, tout ce que j’aimerai. Lui seul savait verser dans une autre âme toutes les sources de bonheur qui reposaient dans la sienne. Lui seul était capable d’un dévouement sans bornes ; lui seul eût consacré sa vie entière à la femme qu’il aimait, aussi facilement qu’il aurait bravé la mort pour elle. Je ne suis qu’un débauché sans cœur ; je n’estime point les femmes ; l’amour que j’inspire est comme celui que je ressens, l’ivresse passagère d’un songe. Je ne sais pas les secrets qu’il savait. Ma gaieté est comme le masque d’un histrion2 ; mon cœur est plus vieux qu’elle, mes sens blasés n’en veulent plus. Je ne suis qu’un lâche ; sa mort n’est point vengée.MARIANNE. Comment aurait-elle pu l’être, à moins de risquer votre vie ? Claudio est trop vieux pour accepter un duel, et trop puissant dans cette ville pour rien craindre de vous.OCTAVE. Cœlio m’aurait vengé si j’étais mort pour lui comme il est mort pour moi. Ce tombeau m’appartient : c’est moi qu’ils ont étendu sous cette froide pierre ; c’est pour moi qu’ils avaient aiguisé leurs épées ; c’est moi qu’ils ont tué. Adieu la gaieté de ma jeunesse, l’insouciante folie, la vie libre et joyeuse au pied du Vésuve ! adieu les bruyants repas, les causeries du soir, les séré-nades sous les balcons dorés ! adieu Naples et ses femmes, les mascarades à la lueur des torches, les longs soupers à l’ombre des forêts ! adieu l’amour et l’amitié ! ma place est vide sur la terre.MARIANNE. Mais non pas dans mon cœur, Octave. Pourquoi dis-tu : « Adieu l’amour » ?OCTAVE. Je ne vous aime pas, Marianne ; c’était Cœlio qui vous aimait.
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