April 2019 1 71 Report
Bonjour alors voilà je dois crée un caractère a la manière de La Bruyère voilà se que j'ai fait

Les hommes et les femmes peuvent
convenir que l'agoraphobie fait partie de l'être humain en son
genre. C'est ce sentiment permanent de la peur que l'on ressent, sans
réellement en montrer le fond . Certaines personnes souffrant de
cette phobie ne se font guère acceptée dans cette société ou tout
le monde se regarde droit dans les yeux sans se demander réellement
ce que la personne pense, ressent.. cela est dur pour nous c'est
comme si nous n'étions pas nous mêmes. C'est un combat de tous les
jours, vivre dans une société ou le contact avec les autres est
indispensable c'est le plus difficile. Tous ceux souffrant de cette
phobie ne peuvent point vivre comme les autres. Dès qu'on se
retrouve dans un lieu public entouré de plusieurs personnes, nous
sommes comme paralysé sur place souffrant de vertiges, de pertes
d'équilibre et de difficulté respiratoire. Tous cela est comme de
l'anxiété comme si le monde autour d'eux s’effondrait , comme si
la mort les emportées. Il ne faut pas les jugées cela pourrait
vous arrivés. Vivre dans cette société n'est pas toujours facile.
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Bonjour alors je dois faire une commentaire littéraire en francais pour vendredi j'aurai besoins que de la problématique svp pouvez-vous m'en trouver une j'ai cherchée mais je ne trouve pas merci d'avance a ceux qui m'aideront voici le texte : MARIANNE. Ne serait-elle point heureuse, Octave, la femme qui t’aimerait ?OCTAVE. Je ne sais point aimer ; Cœlio seul le savait. La cendre que renferme cette tombe est tout ce que j’ai aimé sur la terre, tout ce que j’aimerai. Lui seul savait verser dans une autre âme toutes les sources de bonheur qui reposaient dans la sienne. Lui seul était capable d’un dévouement sans bornes ; lui seul eût consacré sa vie entière à la femme qu’il aimait, aussi facilement qu’il aurait bravé la mort pour elle. Je ne suis qu’un débauché sans cœur ; je n’estime point les femmes ; l’amour que j’inspire est comme celui que je ressens, l’ivresse passagère d’un songe. Je ne sais pas les secrets qu’il savait. Ma gaieté est comme le masque d’un histrion2 ; mon cœur est plus vieux qu’elle, mes sens blasés n’en veulent plus. Je ne suis qu’un lâche ; sa mort n’est point vengée.MARIANNE. Comment aurait-elle pu l’être, à moins de risquer votre vie ? Claudio est trop vieux pour accepter un duel, et trop puissant dans cette ville pour rien craindre de vous.OCTAVE. Cœlio m’aurait vengé si j’étais mort pour lui comme il est mort pour moi. Ce tombeau m’appartient : c’est moi qu’ils ont étendu sous cette froide pierre ; c’est pour moi qu’ils avaient aiguisé leurs épées ; c’est moi qu’ils ont tué. Adieu la gaieté de ma jeunesse, l’insouciante folie, la vie libre et joyeuse au pied du Vésuve ! adieu les bruyants repas, les causeries du soir, les séré-nades sous les balcons dorés ! adieu Naples et ses femmes, les mascarades à la lueur des torches, les longs soupers à l’ombre des forêts ! adieu l’amour et l’amitié ! ma place est vide sur la terre.MARIANNE. Mais non pas dans mon cœur, Octave. Pourquoi dis-tu : « Adieu l’amour » ?OCTAVE. Je ne vous aime pas, Marianne ; c’était Cœlio qui vous aimait.
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