J’ai besoin d’aide c’est un livre qui s’appelle l’ami retrouvé et on doit faire une rédaction sur le chp1 et 2. En principe c’est Hans le narrateur qui décrit la scène mais là il faut que ça soit Conrad qui la décrive. Voilà c’est ça si vous pouvez m’aidez ça serai génial merci
En février 1932, l’auteur a 16 ans. Il habite Wurtemberg (Sud Ouest Allemagne) et fréquente le lycée le plus renommé de la ville, fondé en 1521 “Karl Alexander Gymnasium à Stuttgart”. Il se remémore la première fois qu’il a vu celui qui allait devenir son ami pour la vie. Il revoit encore le dos de ses camarades de classes, qui décèderont pour la plupart dans les steppes russes ou dans les sables d’Alamein (Endroit où Hitler perdit ses batailles en Russie et en Egypte). Son professeur Her (Monsieur en Allemand) Zimmermann était méprisait de ses élèves, il avait environ la cinquantaine, les cheveux grisonnant et le teint jaune.
Le professeur Klett, le proviseur, amena dans leur classe un nouveau venu, l’air aristocratique, bien habillé alors que les adolescents du collège s’habillaient de confection durable, veste et culotte courte. Il portait une chemise bleu pâle, une cravate bleu foncé ornée de poids blanc. Le jeune homme se présenta “Graf (comte en allemand) Von Hohenfels, Conrad, né le 19 janvier 1916 à Burg Hohenfels, Wurtemberg”.
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L’auteur observa le nouveau venu, il n’était pas le seul, tous le regardèrent entre l’admiration et la crainte. Il venait d’une illustre famille Les Hohenfels. leur château situé entre Hohenstaufen le Teck et Hohenzollern était en ruine et ses tours détruites, mais cette famille était connue pour leurs exploits passées. Hildebrandt von Hohenfels était mort en essayant de sauvé Frédéric 1er de Hohenstaufen de la noyade en 1190. Anno von Hohenfels était l’ami de Frédéric II et mourut à Salerne en 1247 dans les bras de l’empereur. Frédéric von Hohenfels fit prisonnier le roi de France François Ier et fut tué à Pavie. Waldemar mourut à Leipzig, Fritz et Ulrich à Champigny (guerre franco allemande 1870), Frédéric fut tué à Verdun (première guerre mondiale). Ce jeune homme était d’une famille illustre de Souabes (famille prestigieuse originaire du Sud de l’Allemagne).
L’auteur est fils d’un médecin juif et petit fils et arrière petit fils de rabbin, de petits commerçants et de marchands de bestiaux, il n’osa pas s’approcher de ce garçon blond. En classe Her Zimmermann écrivait en marge sur les corrigés du conteur des remarques brèves “Mal construit, Pas trop mal,…” , mais pour Conrad, le professeur donnait plus d’explications.
Une semaine après, tous les von du lycée s’approchèrent de lui, puis vinrent les baron et le Freiherr (titre honorifique Allemand), ils parlèrent de personnes connut d’entre eux, Maxie, Tante Hohenlohe et d’autres noms commun, mais cette conversation s’arrêta là, par la suite, seul des signes de tête et des sourires s’échangèrent. Le “Caviar de la classe”, Reutter, Müller et Frank, proche du peintre Pablo Picasso, allaient au théâtre, opéra, lisaient Baudelaire, Rimbaud et Rilke (poète autrichien) l’abordèrent pour qu’il fasse parti de leur groupe de lecture, mais il refusa poliment arguant qu’il était trop occupé.
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groinc
Euh c’est gentil mais j’ai trouvé la même choses sur internet et en plus c’est le point de vu de Hans là pas de Conrad mais merci quand même
nohailabenbrahim28
oui de rien moi je tai juste donné la raiponse q jai eu moi quand je le faisait
groinc
C’est cool mais t’as pas le point de vu de Conrad quand il entre dans la salle de cours ???
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Réponse:
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En février 1932, l’auteur a 16 ans. Il habite Wurtemberg (Sud Ouest Allemagne) et fréquente le lycée le plus renommé de la ville, fondé en 1521 “Karl Alexander Gymnasium à Stuttgart”. Il se remémore la première fois qu’il a vu celui qui allait devenir son ami pour la vie. Il revoit encore le dos de ses camarades de classes, qui décèderont pour la plupart dans les steppes russes ou dans les sables d’Alamein (Endroit où Hitler perdit ses batailles en Russie et en Egypte). Son professeur Her (Monsieur en Allemand) Zimmermann était méprisait de ses élèves, il avait environ la cinquantaine, les cheveux grisonnant et le teint jaune.
Le professeur Klett, le proviseur, amena dans leur classe un nouveau venu, l’air aristocratique, bien habillé alors que les adolescents du collège s’habillaient de confection durable, veste et culotte courte. Il portait une chemise bleu pâle, une cravate bleu foncé ornée de poids blanc. Le jeune homme se présenta “Graf (comte en allemand) Von Hohenfels, Conrad, né le 19 janvier 1916 à Burg Hohenfels, Wurtemberg”.
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L’auteur observa le nouveau venu, il n’était pas le seul, tous le regardèrent entre l’admiration et la crainte. Il venait d’une illustre famille Les Hohenfels. leur château situé entre Hohenstaufen le Teck et Hohenzollern était en ruine et ses tours détruites, mais cette famille était connue pour leurs exploits passées. Hildebrandt von Hohenfels était mort en essayant de sauvé Frédéric 1er de Hohenstaufen de la noyade en 1190. Anno von Hohenfels était l’ami de Frédéric II et mourut à Salerne en 1247 dans les bras de l’empereur. Frédéric von Hohenfels fit prisonnier le roi de France François Ier et fut tué à Pavie. Waldemar mourut à Leipzig, Fritz et Ulrich à Champigny (guerre franco allemande 1870), Frédéric fut tué à Verdun (première guerre mondiale). Ce jeune homme était d’une famille illustre de Souabes (famille prestigieuse originaire du Sud de l’Allemagne).
L’auteur est fils d’un médecin juif et petit fils et arrière petit fils de rabbin, de petits commerçants et de marchands de bestiaux, il n’osa pas s’approcher de ce garçon blond. En classe Her Zimmermann écrivait en marge sur les corrigés du conteur des remarques brèves “Mal construit, Pas trop mal,…” , mais pour Conrad, le professeur donnait plus d’explications.
Une semaine après, tous les von du lycée s’approchèrent de lui, puis vinrent les baron et le Freiherr (titre honorifique Allemand), ils parlèrent de personnes connut d’entre eux, Maxie, Tante Hohenlohe et d’autres noms commun, mais cette conversation s’arrêta là, par la suite, seul des signes de tête et des sourires s’échangèrent. Le “Caviar de la classe”, Reutter, Müller et Frank, proche du peintre Pablo Picasso, allaient au théâtre, opéra, lisaient Baudelaire, Rimbaud et Rilke (poète autrichien) l’abordèrent pour qu’il fasse parti de leur groupe de lecture, mais il refusa poliment arguant qu’il était trop occupé.