Bonjour c'est hyper important svp je suis en 4 ème je donne 20 pts
C'est un texte qu'il faut terminer en employant au moins trois verbes à l'indicatif passé simple et deux verbes à l'indicatif imparfait. Voici le texte : ( si voulez un résumé de ce texte voici : en gros sa parle d'une servante et sa "cheffe" et ses enfant qui font une promenade dans le brouillard et ils croisent un troupeau de vaches mais sauf qu'il y a un taureau derrière elles... ( et la faut imaginer une suite)
La servante Félicité vit avec Madame Aubain et ses deux enfants.
Un soir d'automne, on s'en retourna par les herbages. La lune à son premier quartier éclairait une partie du ciel, et un brouillard flottait 5 comme une écharpe sur les sinuosités de la Toucques¹. Des bœufs, étendus au milieu du gazon, regardaient tranquillement ces quatre personnes passer. Dans la troisième pâture quelques-uns se levèrent, puis se mirent en rond 10 devant elles. - « Ne craignez rien !>dit Félicité ; et, murmurant une sorte de complainte, elle flatta² sur l'échine celui qui se trouvait le plus près ; il fit volte-face, les autres l'imitèrent. Mais quand l'herbage suivant fut traversé, 15 un beuglement formidable s'éleva. C'était un taureau, que cachait le brouillard. Il avança vers les deux femmes. Mme Aubain allait courir. - Non ! non moins vite !* Elles pressaient le pas cependant, et entendaient par-derrière un 20 souffle sonore qui se rapprochait.
Gustave Flaubert, « Un cœur simple », dans Trois contes (1877).
1. la Toucques : nom d'une rivière. 2. flatta : caressa.
QUESTIONS- terminer le récit ci dessus, en employant au moins trois verbes à l'indicatif pas sé simple et deux verbes à l'indicatif imparfait.
Un soir d'automne, on s'en retourna par les herbages.
La lune à son premier quartier éclairait une partie du ciel, et un brouillard flottait comme une écharpe sur les sinuosités de la Toucques. Des bœufs, étendus au milieu du gazon, regardaient tranquillement ces quatre personnes passer. Dans la troisième pâture quelques-uns se levèrent, puis se mirent en rond devant elles.
- « Ne craignez rien !>dit Félicité ; et, murmurant une sorte de complainte, elle flatta sur l'échine celui qui se trouvait le plus près ; il fit volte-face, les autres l'imitèrent. Mais quand l'herbage suivant fut traversé, un beuglement formidable s'éleva. C'était un taureau, que cachait le brouillard. Il avança vers les deux femmes. Mme Aubain allait courir. - Non ! non moins vite !* Elles pressaient le pas cependant, et entendaient par-derrière un souffle sonore qui se rapprochait. Félicité écarta les bras comme pour protéger sa maîtresse et les enfants. Elle fixait le taureau dont les naseaux écumaient. Félicité émit nettement un beuglement croyant communiquer avec l'animal ou l'impressionner. Le taureau gratta la terre avec ses pattes de devant. La bête allait foncer quand le fermier arriva en courant avec son épieu.
" La peur prit Mme Aubain et elle se mit à courir quand le souffle fut quasiment sur elle. Arrivée à la clôture, Félicité lui dit -" 'Il n'était point nécessaire de courir. C'était Fernand, le taureau. Il n'aime rien moins que courir à côté des gens qui ont peur et qui s'enfuient. Ce n'était qu'un jeu. "
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Un soir d'automne, on s'en retourna par les herbages.
La lune à son premier quartier éclairait une partie du ciel, et un brouillard flottait comme une écharpe sur les sinuosités de la Toucques. Des bœufs, étendus au milieu du gazon, regardaient tranquillement ces quatre personnes passer. Dans la troisième pâture quelques-uns se levèrent, puis se mirent en rond devant elles.
- « Ne craignez rien !>dit Félicité ; et, murmurant une sorte de complainte, elle flatta sur l'échine celui qui se trouvait le plus près ; il fit volte-face, les autres l'imitèrent. Mais quand l'herbage suivant fut traversé, un beuglement formidable s'éleva. C'était un taureau, que cachait le brouillard. Il avança vers les deux femmes. Mme Aubain allait courir. - Non ! non moins vite !* Elles pressaient le pas cependant, et entendaient par-derrière un souffle sonore qui se rapprochait. Félicité écarta les bras comme pour protéger sa maîtresse et les enfants. Elle fixait le taureau dont les naseaux écumaient. Félicité émit nettement un beuglement croyant communiquer avec l'animal ou l'impressionner. Le taureau gratta la terre avec ses pattes de devant. La bête allait foncer quand le fermier arriva en courant avec son épieu.
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Bonjour,
" La peur prit Mme Aubain et elle se mit à courir quand le souffle fut quasiment sur elle. Arrivée à la clôture, Félicité lui dit -" 'Il n'était point nécessaire de courir. C'était Fernand, le taureau. Il n'aime rien moins que courir à côté des gens qui ont peur et qui s'enfuient. Ce n'était qu'un jeu. "
Bonne journée