Bonjour c'est pour un devoir très important, j'ai relus plusieurs fois mais je veut en être sur, vous pouvez me dire s'il y'a des fautes d'orthographe ou de syntaxe
À mes chers lecteurs...
Chers courageux lecteurs, si vous avez acheté ce tombeau, sachez que votre vie va changée. Vous ne prendrez plus de goût à la vie quand vous découvrirez la terreur du spleen. Vous maudirez ce jour où vous avez ouvert ce tombeau. Vous allez vous réveillés d'un rêve où vous croyez vivre. Baudelaire commente lui même son œuvre (Les Fleurs du Mal): "Dans ce livre atroce, j'ai mis toute ma pensée, tout mon cœur, toute ma religion, toute ma haine" (1886 les correspondances). On peut déjà observer rien que dans cette citation comment Baudelaire souffrais et comment cette souffrance a influencée son écriture. Ce premier fascicule du bouquet va provoqué un grand choc et va probablement être interdit au publique.
Le mot spleen à pour origine la langue anglaise. Il signifie "rate" (organe du corps humain). On peut l'associer à l'angoisse, la mort, le découragement, le dégoût de la vie.
En rassemblent les textes qui suivent, j'ai surtout songé, en effet, à accentué cette notion d'angoisse et a constitué une vision, "ma vision" de ce que le spleen représente: une destruction intérieur, qui grignote l'homme et le pousse à s'en échapper par différents issues, mais quand il voit qu'il n'y peut plus rien et qu'il est confronté à faire face à ce monstre, il attend que le monstre le dévore complètement. Donc il attend la mort.
À la limite, on pourrait affirmé que la personne prise par le spleen est un cadavre errant sous la souffrance et confronté à son destin tel un personnage tragique. Il est vrai que la notion de spleen n'existait pas dans l'Antiquité, mais on pouvait déjà y observer des personnages faisant face à leur destin. Par exemple Antigone souffre à cause de la mort de son frère (Antigone écris par Sophocle en -441). Ainsi nous pouvons dire que le spleen a toujours été présent en l'homme mais de différentes façons.
J'ai parcouru un long chemin pour rassembler ces poèmes. J'ai dû lire dans les pires pensées de Baudelaire et j'ai finis par découvrir ce gouffre qu'est le spleen. Nous pouvons déjà observer dans le "Guignon" que le personnage est dans une profonde mélancolie. Il est à la poursuite d'un amour impossible. De plus, "l'irrémédiable" et "De profundis clamavi" nous montres un personnage totalement désorienté dans un univers sombre et fantastique où il semble être emprisonné à jamais et où il subit parfois la torture. Le "Spleen" ainsi que le "Vampire" nous font voir comment le spleen grignote le personnage de l'intérieur. Le spleen bois tout le sang du personnage. Il l'affaibli tout d'abord, puis le tue dans d'affreuse souffrance. Dans le "tombeau de la haine" le personnage est atteint d'une haine qui ne fait que croître et qui le détruit. Toute cette haine est causée par le spleen. "Le revenant" et "une nuit que j'étais près d'une affreuse juive..." nous permettent de discerner un aspect abominable du spleen. "Le revenant" montre un personnage qui tente d'échapper au spleen par tout les moyens, ici la Femme. Mais dans l'autre poème le personnage est confronté au spleen. Ici nous pouvons dire en quelques sortes que ce personnage est Baudelaire car il tente de fuir au spleen mais y est confronté car il est atteint de syphilis a cause de la prostitué juif. Enfin, "L'héautontimorouménos" ainsi que "Le mort joyeux" mettent en avant un personnage qui se punit lui-même et qui a un profond dégoût pour la vie. Ce personnage attend la mort car ce "serait" le seul moyen d'en finir.
Après avoir lu ces poèmes j'ai été choqué par le réalisme des événements et de la façons dont elle se succède dans se fascicule. Elle sont rangées dans un ordre spécifique qui permet de suivre un personnage tout au long de son rencontre avec le spleen (voir l'enchaînement des explication poèmes dans le paragraphe précédent). J'ai compris que tout les hommes renfermaient en eux une partie de ce maudit mot sans en être au courant. Vous savez maintenant qu'un monstre essaye de vous détruire de l'intérieur et qu'il attend pour cela le moment propice. Le seul conseille que je puisse vous donné est de vous battre jusqu'à la fin. Sinon, vous serez perdus.
Mon seul souhait est donc que vous, mes lecteurs, ne faites lire ce fascicule à personnes qui compte pour vous, sous peines de le perdre.
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À mes chers lecteurs...Chers courageux lecteurs, si vous avez acheté ce tombeau, sachez que votre vie va changer. Vous ne prendrez plus de goût à la vie quand vous découvrirez la terreur du spleen. Vous maudirez ce jour où vous avez ouvert ce tombeau. Vous allez vous réveiller d'un rêve que vous croyez réel. Baudelaire commente lui même son œuvre (Les Fleurs du Mal): "Dans ce livre atroce, j'ai mis toute mapensée, tout mon cœur, toute ma religion, toute ma haine" (1886 les correspondances). On peut d'ores et déjà observer dans cette citation comment Baudelaire souffrait et comment cette souffrance a influencé son écriture. Ce premier fascicule du bouquet va provoquer un grand choc et va probablement être interdit au public.
Le mot spleen est d'origine anglaise, et signifie "rate" (organe du corps humain). On peut l'associer à l'angoisse, la mort, le découragement, le dégoût de la vie.
En rassemblant les textes qui suivent, j'ai surtout songé, en effet, à accentuer cette notion d'angoisse et à constituer une vision, "ma vision" de ce que le spleen représente : une destruction intérieur, qui grignote l'homme et le pousse à s'en échapper par différentes issues, mais quand il voit qu'il n'y peut plus rien et qu'il est confronté à faire face à ce monstre, il attend de se faire complètement dévorer. Il attend donc la mort.
À la limite, on pourrait affirmer que la personne prise par le spleen est un cadavre errant dans la souffrance, et confronté à son destin tel un personnage tragique. Il est vrai que la notion de spleen n'existait pas dans l'Antiquité, mais on pouvait déjà y observer des personnages faisant face à leur destin. Par exemple, Antigone souffre à cause de la mort de son frère (Antigone écrit par Sophocle en -441). Ainsi nous pouvons dire que le spleen a toujours été présent en l'homme mais de différentes façons.
J'ai parcouru un long chemin pour rassembler ces poèmes, j'ai dû lire dans les pires pensées de Baudelaire et j'ai fini par découvrir ce gouffre qu'est le spleen. Nous pouvons déjà observer dans le "Guignon" que le personnage est dans une profonde mélancolie et à la poursuite d'un amour impossible. De plus, "l'irrémédiable" et "De profundis clamavi" nous montrent un personnage totalement désorienté dans un univers sombre et fantastique où il semble être emprisonné à jamais et où il subit parfois la torture. Le "Spleen" ainsi que le "Vampire" nous font voir comment le spleen grignote le personnage de l'intérieur. Le spleen boit tout le sang du personnage, il l'affaiblit tout d'abord, puis le tue dans d'affreuses souffrances. Dans le "tombeau de la haine" le personnage est atteint d'une haine qui ne fait que croître et qui le détruit. Toute cette haine est causée par le spleen. "Le revenant" et "une nuit que j'étais près d'une affreuse juive..." nous permettent de discerner un aspect abominable du spleen. "Le revenant" montre un personnage qui tente d'échapper au spleen par tous les moyens, ici la Femme. Mais dans l'autre poème, le personnage est confronté au spleen. Ici nous pouvons dire en quelque sorte que ce personnage est Baudelaire car il tente de fuir au spleen mais y est confronté car il est atteint de syphilis à cause de la prostituée juive. Enfin, "L'héautontimorouménos" ainsi que "Le mort joyeux" mettent en avant un personnage qui se punit lui-même et qui a un profond dégoût pour la vie. Ce personnage attend la mort prétendant au seul moyen d'en finir.
Après avoir lu ces poèmes, j'ai été choqué par le réalisme des événements et de la façon dont ils se succèdent dans ce fascicule. Ils sont rangés dans un ordre spécifique qui permet de suivre un personnage tout au long de sa rencontre avec le spleen (voir l'enchaînement des explications de poèmes dans le paragraphe précédent). J'ai compris que tous les hommes renfermaient en eux une partie de ce maudit mot sans en être au courant. Vous savez maintenant qu'un monstre essaye de vous détruire de l'intérieur et qu'il attend pour cela le moment propice. Le seul conseil que je puisse vous donner est de vous battre jusqu'à la fin. Sinon, vous serez perdus.
Mon seul souhait est donc que vous, mes lecteurs, vous ne fassiez pas lire ce fascicule aux personnes qui comptent pour vous, sous peine de les perdre.
Vous ne prendrez plus goût à la vie
vous réveiller
Baudelaire souffraiT; / a in fluencé : va provoquER / destruction intérieurE/ AU PUBLIC
ON POURRAIT AFFIRMER/ a pour origine ( c'est le verbe avoir donc pas d'accent)
à accentuer/ à constituer/ par différentes issues/ on pourrait affirmer/j'ai fini/ nous montrEnT/Le spleen boiT/ il l'affaibliT/dans une affreuse souffrance ou dans d'affreuseS souffranceS/ à caude de la prostituéE juivE/et de la façon ( sans S)/ elles se succèdent ( qui elle?) dans CE fascicule/de SA rencontre avec le spleen/ des explicationS/ le seul conseiL/ vous donneR/ à personnE/ sous peine