Bonjour, en français nous devons répondre à deux questions : - Qu’est-ce que l’affaire Dreyfus ? - Que peut-on dire de Zola ? J’ai déjà répondu à la première question mais je ne sais pas quoi dire pour répondre à la deuxième Merci d’avance pour votre aide
Zola s'est engagé dans l'affaire Dreyfus en faisant paraître dans le journal l'Aurore, dirigé par Georges Clemenceau, le 13 janvier 1898, une lettre ouverte adressée au président de la république Félix Faure avec un titre choc : J'ACCUSE. Il dénonce un procès à charge, des mensonges de certains militaires, il cite des noms. il dénonce la condamnation de Dreyfus pour haute trahison et prend sa défense.
Voici la fin de cette lettre :
"Quant aux gens que j’accuse, je ne les connais pas, je ne les ai jamais vus, je n’ai contre eux ni rancune ni haine. Ils ne sont pour moi que des entités, des esprits de malfaisance sociale. Et l’acte que j’accomplis ici n’est qu’un moyen révolutionnaire pour hâter l’explosion de la vérité et de la justice.
Je n’ai qu’une passion, celle de la lumière, au nom de l’humanité qui a tant souffert et qui a droit au bonheur. Ma protestation enflammée n’est que le cri de mon âme. Qu’on ose donc me traduire en cour d’assises et que l’enquête ait lieu au grand jour ! J’attends."
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Réponse :
Zola s'est engagé dans l'affaire Dreyfus en faisant paraître dans le journal l'Aurore, dirigé par Georges Clemenceau, le 13 janvier 1898, une lettre ouverte adressée au président de la république Félix Faure avec un titre choc : J'ACCUSE. Il dénonce un procès à charge, des mensonges de certains militaires, il cite des noms. il dénonce la condamnation de Dreyfus pour haute trahison et prend sa défense.
Voici la fin de cette lettre :
"Quant aux gens que j’accuse, je ne les connais pas, je ne les ai jamais vus, je n’ai contre eux ni rancune ni haine. Ils ne sont pour moi que des entités, des esprits de malfaisance sociale. Et l’acte que j’accomplis ici n’est qu’un moyen révolutionnaire pour hâter l’explosion de la vérité et de la justice.
Je n’ai qu’une passion, celle de la lumière, au nom de l’humanité qui a tant souffert et qui a droit au bonheur. Ma protestation enflammée n’est que le cri de mon âme. Qu’on ose donc me traduire en cour d’assises et que l’enquête ait lieu au grand jour ! J’attends."
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