Bonjour,
est ce que quelqun peut me corrigé mon text svp
et voir aussi l' imparfait pour la description et le passé simple pour la narration. C'est urgent
Merci à l' avance

Mon journal de bord


Nous partîmes le 18 septembre 1698 de Nantes. Après un long et périlleux voyage, avec des conditions climatiques difficiles, mon navire et mes dix marins arrivèrent enfin sur une île, nous étions heureux et soucieux de savoir où nous étions, fatigués et affamés nous espérions tous nous ressourcer.


Samedi, 29 octobre 1698,

Enfin, la nuit fut bonne à part les moustiques, mais la fatigue fut telle que nous avions tous put dormir. Le soleil brillait déjà d’une force dont les rayons réchauffaient le cœur des marins. Les paysages étaient paradisiaques, des palmiers, une végétation luxuriante et l'eau d'un clair, c'était magnifique, le sable était doux, ma première idée aller dans la forêt. Le feu avait été allumé la veille pour notre sécurité. Déjà les premiers poissons furent pêchés.

Je m'engageai dans la forêt avec quelques hommes, avec un sac de jute pris du bateau, nous pûmes ramasser des baies, des fruits et un bizarre nous interpellèrent vert fluorescent, il était de la taille d'une pomme avec des petites taches jaunes, il y en avait partout, il sentait bon, certains étaient mûrs, je décidais d'en manger un, c'était succulent sucré un vrai délice, et en plus nous eûmes la visite d'un petit animal mi singe mi écureuil, il sautait partout entre les arbres, ses yeux tout rond et malicieux, on décida de l'appeler aventure. C'était notre mascotte.

Notre balade fut remplie de bonnes choses (noix de coco- baies fruits) on ramena tout cela au campement, la journée fut intéressante dans la découverte de l'île, nous avions pu manger et boire aussi grâce à une source, d’une couleur d’eau bleue turquoise. La nuit fut paisible.


Dimanche, 30 octobre 1698,

Quelle peur, ce matin, nous étions encerclé par des hommes en tenue de paille, ils portaient des lances et tatouages plus beaux les uns que les autres.

Ils nous regardaient bizarrement et se rapprochaient de nous, je me disais, c'est la fin. Ils se mettaient à chanter et danser, je me suis levai un peu abasourdi le chef s'avança pour me donner un présent, c'était un tablier en paille, il me demandai de le mettre en se moquant de nos vêtements, je m’exécutai et là tout le monde se mit à rire mes hommes et nos hôtes, des chants résonnés à l'unisson, le chef demanda à mes hommes de se lever et de les suivre.

Nous arrivâmes à leur village, nous fûmes accueillis comme des princes, nous échangeâmes des présents mutuellement, nous partagions un moment de leur vie, les repas, leurs rites, ce fit un moment marquant et remplit d'émotion.



Nous gardâmes tous un merveilleux souvenir de cette aventure humaine individuelle et collective. Et avec un pincement au cours que chacun de nous reprîmes sa route vers un nouvel horizon.