Je suis à l’agonie, mais je voudrais vous faire savoir par cette dernière lettre comment s’est passée l´attaque d’Ypres.
Moi, Joseph, je m’étais engagé dans l’armée belge, afin d’aider les français à se libérer des allemands pendant cette guerre mondiale comme nous n’en avions jamais vue.
Nous allions remporter la guerre, ou du moins je le pense, quand les allemands eurent une idée diabolique pour tuer tous les combattants de notre noble patrie.
Ils employèrent du gaz appelé dichlore, et le répandirent dans l’air. Cette idée malencontreuse eût donc pour conséquence de tuer la plupart d’entre nous.
Moi, je ne mourus pas sur le champs, mais l’on constata rapidement que j’avais également été gazé.
Je fus soigné, mais trop tard.
Mère, je vous en prie, gardez donc un bon souvenir de moi, et racontez mon histoire, de manière à ce que l’on ne m’oublie pas.
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Réponse :
Voici ma lettre:
Chère mère,
Je suis à l’agonie, mais je voudrais vous faire savoir par cette dernière lettre comment s’est passée l´attaque d’Ypres.
Moi, Joseph, je m’étais engagé dans l’armée belge, afin d’aider les français à se libérer des allemands pendant cette guerre mondiale comme nous n’en avions jamais vue.
Nous allions remporter la guerre, ou du moins je le pense, quand les allemands eurent une idée diabolique pour tuer tous les combattants de notre noble patrie.
Ils employèrent du gaz appelé dichlore, et le répandirent dans l’air. Cette idée malencontreuse eût donc pour conséquence de tuer la plupart d’entre nous.
Moi, je ne mourus pas sur le champs, mais l’on constata rapidement que j’avais également été gazé.
Je fus soigné, mais trop tard.
Mère, je vous en prie, gardez donc un bon souvenir de moi, et racontez mon histoire, de manière à ce que l’on ne m’oublie pas.
Meilleurs saluts,
Joseph