bonjour est ce que quelqu’un pourrait me trouver une problématique possible pour un commentaire sur "Sonnet Boiteux" de Verlaine s’il vous plaît ?
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cherinee190109
Réponse : 7° poème du recueil jadis et naguère 1881 I. Un sonnet boiteux : Le déséquilibre du vers irrégulier Les ruptures de syntaxe L'évocation de péripéties chaotiques II. Une période de déséquilibre personnel - une autre capitale : Londres et ses clichés ( brouillard ... mots anglais) - rupture avec Rimbaud - allusion biblique de Sodome et Gomorre III. Un poète en souffrance - le champ lexical dominant - le poète /martyre - un poème comme un monologue intime Explications : Ah ! vraiment, c'est triste, ah ! vraiment ça finit trop mal. Il n'est pas permis d'être à ce point infortuné. Ah! vraiment c'est trop la mort du naïf animal Qui voit tout son sang couler sous son regard fané. Londres fume et crie. Ô quelle ville de la Bible ! (12) Le gaz flambe et nage et les enseignes sont vermeilles. Et les maisons dans leur ratatinement terrible Epouvantent comme un sénat de petites vieilles. (12) Tout l'affreux passé saute, piaule, miaule et glapit Dans le brouillard rose et jaune et sale des Soho Avec des indeeds et des all right et des haôs. Non vraiment c'est trop un martyre sans espérance, Non vraiment cela finit trop mal, vraiment c'est triste : Ô le feu du ciel sur cette ville de la Bible ! (12)
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jverbecque332
merci mais ça ne répond pas à ma question, puis j’ai déjà vu cette réponse sous une autre question :)
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I. Un sonnet boiteux :
Le déséquilibre du vers irrégulier
Les ruptures de syntaxe
L'évocation de péripéties chaotiques
II. Une période de déséquilibre personnel
- une autre capitale : Londres et ses clichés ( brouillard ... mots anglais)
- rupture avec Rimbaud
- allusion biblique de Sodome et Gomorre
III. Un poète en souffrance
- le champ lexical dominant
- le poète /martyre
- un poème comme un monologue intime
Explications :
Ah ! vraiment, c'est triste, ah ! vraiment ça finit trop mal.
Il n'est pas permis d'être à ce point infortuné.
Ah! vraiment c'est trop la mort du naïf animal
Qui voit tout son sang couler sous son regard fané.
Londres fume et crie. Ô quelle ville de la Bible ! (12)
Le gaz flambe et nage et les enseignes sont vermeilles.
Et les maisons dans leur ratatinement terrible
Epouvantent comme un sénat de petites vieilles. (12)
Tout l'affreux passé saute, piaule, miaule et glapit
Dans le brouillard rose et jaune et sale des Soho
Avec des indeeds et des all right et des haôs.
Non vraiment c'est trop un martyre sans espérance,
Non vraiment cela finit trop mal, vraiment c'est triste :
Ô le feu du ciel sur cette ville de la Bible ! (12)