Bonjour est-ce que vous pouvez m’aider c’est un dm (vers le commentaire de texte) je dois rédiger une introduction pour le sonnet 48 du Bellay et énoncez 3 procédés littéraires
Introduction 1) L’expression du sentiment de la contrainte;
1)- 2)- 3)- Vraiment merci beaucoup je suis grave pas fort sur ça merci
La plupart des poèmes du recueil Les Regrets ont été écrits en italie par du Bellay lors de son séjour à Rome.L'impression qui domine est celle du désenchantement. On peut se demander quelles en sont les causes. Nous examinerons ensuite les conséquence s personnelles de cette expérience.
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Les procédés littéraires
Ô combien est heureux qui n’est contraint de feindre,
Ce que la vérité le contraint de penser,
Et à qui le respect d’un qu’on n’ose offenser
Ne peut la liberté de sa plume contraindre ! (antithèse)
Las, pourquoi de ce nœud sens-je la mienne éteindre, (métaphore)
Quand mes justes regrets je cuide commencer ?
Et pourquoi ne se peut mon âme dispenser
De ne sentir son mal ou de s’en pouvoir plaindre ?
On me donne la gêne, et si n’ose crier,
On me voit tourmenter, et si n’ose prier
Qu’on ait pitié de moi. Ô peine trop sujette !
Il n’est feu si ardent qu’un feu qui est enclos, ( comparaison)
Il n’est si fâcheux mal qu’un mal qui tient à l’os,
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Réponse : Introduation
La plupart des poèmes du recueil Les Regrets ont été écrits en italie par du Bellay lors de son séjour à Rome.L'impression qui domine est celle du désenchantement. On peut se demander quelles en sont les causes. Nous examinerons ensuite les conséquence s personnelles de cette expérience.
.
Les procédés littéraires
Ô combien est heureux qui n’est contraint de feindre,
Ce que la vérité le contraint de penser,
Et à qui le respect d’un qu’on n’ose offenser
Ne peut la liberté de sa plume contraindre ! (antithèse)
Las, pourquoi de ce nœud sens-je la mienne éteindre, (métaphore)
Quand mes justes regrets je cuide commencer ?
Et pourquoi ne se peut mon âme dispenser
De ne sentir son mal ou de s’en pouvoir plaindre ?
On me donne la gêne, et si n’ose crier,
On me voit tourmenter, et si n’ose prier
Qu’on ait pitié de moi. Ô peine trop sujette !
Il n’est feu si ardent qu’un feu qui est enclos, ( comparaison)
Il n’est si fâcheux mal qu’un mal qui tient à l’os,
Et n’est si grand douleur qu’une douleur muette.