Bonjour, Est-ce que vous pouvez m'aidez s'il vous plaît? Je doit répondre à cette question avec trois arguments pour oui ou non en citant des exemples: <>
Louise93
Est ce que pour oui tu as des exemples s il te plait
pancrinol
Pour les " oui ", tu peux remarquer les millions de personnes qui visitent chaque année les grands musées comme le Louvre, les pyramides. Des millions d'autres écoutent la musique classique, regardent les pièces de Molière, celles de Racine, lisent les romans de V Hugo, Balzac....
toute forme d'art, peut révolter un peuple, changer le monde tout comme elle peut avoir une visée uniquement esthétique voir une visée au penchant conformiste. Ces idées, toutes les trois opposées, sont défendues avec conviction par certains auteurs d’époques plus ou moins distantes et donc par des formes d’écritures plus ou moins modernes. En effet, si la littérature peut entraîner une révolte on peut très bien considérer que son renouvellement incessant, son envie continuelle de se réinventer, est une sorte de révolte de la littérature contre elle-même. On condamne les méthodes anciennes et favorise une sorte de révolte esthétique avec l’apparition de nouveaux courants réformateurs, ce qui se traduit dans l’histoire par la lutte entre les partisans Modernes et les Anciens ou encore par l’arrivée subite du surréalisme de Breton en littérature.
L’idéologie Nationale socialiste fascine de nombreux artistes et le régime Nazi va s’en servir pour sa propagande. En 1933, Adolf Hitler crée le ministère de l’information populaire et de la propagande et le confie à Joseph Goebels. La mission principale de ce ministère est de contrôler la presse mais aussi les artistes et les intellectuels. Au cinéma, Leni Riefenstahl, au travers de films comme "Les dieux du stade", un documentaire sur les JO de Berlin, ou "Le triomphe de la volonté" met en scène les valeurs et les symboles du parti Nazi. L’image que s’efforce de donner la propagande à travers le cinéma, l’art, les affiches est celle de la communauté raciale germanique et de sa grandeur. La caricature devient un "art au service de la propagande", car elle est incisive et réductrice et elle associe une image simplifiée à un texte court grâce à des images simples et fortes, compréhensibles par le plus grand nombre et entraînant une émotion forte plutôt qu’une réflexion du public.
Concernant la musique, selon l’idéologie Nazie, le peuple allemand se considérait comme "Le premier peuple de musiciens sur terre" et Wagner son héros. Beaucoup de musiques étaient interdites car considérées comme "dégénérées" (musiques juives, ou américaines comme le swing ou le Jazz…) La musique devient un enjeu politique, non plus un art pour adoucir les mœurs mais au contraire pour galvaniser les allemands, qui pouvaient voir aux actualités les victoires allemandes sur "La chevauchée des Walkyries" de Richard Wagner par exemple.
Le travail d’un artiste n’était donc pas toujours neutre, et pouvait défendre une cause ou contester un régime politique. Pendant la deuxième guerre mondiale, certains ont participé au régime totalitaire et souvent leur travail a été instrumentalisé à des fins de propagande.
D’autres au contraire, ont résisté, et leurs œuvres sont rentrées dans l’histoire comme des symboles de liberté. D’autres enfin, participent au devoir de mémoire, et nous permettent de nous souvenir à jamais des atrocités dont sont capables les hommes.
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Bonjour,L'art peut changer le monde :
- Il donne un aspect positif de la société, il en est le reflet.
- Il nous pousse vers la beauté.
- Il est une source de réflexion et de contemplation.
L'art ne va pas changer le monde.
- Il n'intéresse que les riches qui peuvent se l'offrir.
- L'art, c'est pour les snobs, pour beaucoup seul l'argent compte.
- L'art, c'est comme les vêtements juste une question de mode, instable et
sans vrai intérêt.
J'espère avoir pu t'aider.
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Bonjour,toute forme d'art, peut révolter un peuple, changer le monde tout comme elle peut avoir une visée uniquement esthétique voir une visée au penchant conformiste. Ces idées, toutes les trois opposées, sont défendues avec conviction par certains auteurs d’époques plus ou moins distantes et donc par des formes d’écritures plus ou moins modernes. En effet, si la littérature peut entraîner une révolte on peut très bien considérer que son renouvellement incessant, son envie continuelle de se réinventer, est une sorte de révolte de la littérature contre elle-même. On condamne les méthodes anciennes et favorise une sorte de révolte esthétique avec l’apparition de nouveaux courants réformateurs, ce qui se traduit dans l’histoire par la lutte entre les partisans Modernes et les Anciens ou encore par l’arrivée subite du surréalisme de Breton en littérature.
L’idéologie Nationale socialiste fascine de nombreux artistes et le régime Nazi va s’en servir pour sa propagande.
En 1933, Adolf Hitler crée le ministère de l’information populaire et de la propagande et le confie à Joseph Goebels.
La mission principale de ce ministère est de contrôler la presse mais aussi les artistes et les intellectuels.
Au cinéma, Leni Riefenstahl, au travers de films comme "Les dieux du stade", un documentaire sur les JO de Berlin, ou "Le triomphe de la volonté" met en scène les valeurs et les symboles du parti Nazi.
L’image que s’efforce de donner la propagande à travers le cinéma, l’art, les affiches est celle de la communauté raciale germanique et de sa grandeur.
La caricature devient un "art au service de la propagande", car elle est incisive et réductrice et elle associe une image simplifiée à un texte court grâce à des images simples et fortes, compréhensibles par le plus grand nombre et entraînant une émotion forte plutôt qu’une réflexion du public.
Concernant la musique, selon l’idéologie Nazie, le peuple allemand se considérait comme "Le premier peuple de musiciens sur terre" et Wagner son héros.
Beaucoup de musiques étaient interdites car considérées comme "dégénérées" (musiques juives, ou américaines comme le swing ou le Jazz…)
La musique devient un enjeu politique, non plus un art pour adoucir les mœurs mais au contraire pour galvaniser les allemands, qui pouvaient voir aux actualités les victoires allemandes sur "La chevauchée des Walkyries" de Richard Wagner par exemple.
Le travail d’un artiste n’était donc pas toujours neutre, et pouvait défendre une cause ou contester un régime politique.
Pendant la deuxième guerre mondiale, certains ont participé au régime totalitaire et souvent leur travail a été instrumentalisé à des fins de propagande.
D’autres au contraire, ont résisté, et leurs œuvres sont rentrées dans l’histoire comme des symboles de liberté.
D’autres enfin, participent au devoir de mémoire, et nous permettent de nous souvenir à jamais des atrocités dont sont capables les hommes.