Bonjour j ai un probleme le devoir est a rendre aujourd huit est j ai pas d inspiration pourriez vous m aider?
Imaginez vous posté à un étage supérieur : en vous inspirant du poème de Baudelaire et de la peinture de Caillebotte. Vous décrirez de manière poétique ce que vous voyez, en lien avec le temps qui passe. Attention à bien respecter : - L’’introduction, paragraphe, et conclusion ( avec des connecteurs logiques variés) - Le niveau de langue ( reprenez les 5 points de relecture , et notez les à la fin de votre texte) - La copie doit être lisible, pas à déchiffrer - 30 Minimum
Celui qui se penche, depuis son balcon, sur l'avenue qui s'étire entre les rangées d'immeubles, voit beaucoup plus de choses que le piéton minuscule qui regarde devant lui.
Derrière chaque fenêtre fermée vit la vie, se cachent des secrets, s'étouffent les rires d'enfants. Les appartements cossus des premiers étages s'enorgueillissent de ferronneries galbées, les derniers étages sous les toits logent des servantes ou des rapins qui rêvent de gloire. Les rez de chaussée s'animent quand les boutiques ouvrent les volets et les chalands s'arrêtent et se laissent tenter. Une inconnue arrive, de son pas de statue, elle est en grand deuil mais lève aussi les yeux. D'un signe de la main, je salue la passante et je rêve déjà d'une aventure charmante.
Mais le temps est un démon qui tente et me laisse pantois. Le poète sait bien que les heures sont comptées et le spleen revient avec ses cauchemars.
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Réponse :
Celui qui se penche, depuis son balcon, sur l'avenue qui s'étire entre les rangées d'immeubles, voit beaucoup plus de choses que le piéton minuscule qui regarde devant lui.
Derrière chaque fenêtre fermée vit la vie, se cachent des secrets, s'étouffent les rires d'enfants. Les appartements cossus des premiers étages s'enorgueillissent de ferronneries galbées, les derniers étages sous les toits logent des servantes ou des rapins qui rêvent de gloire. Les rez de chaussée s'animent quand les boutiques ouvrent les volets et les chalands s'arrêtent et se laissent tenter. Une inconnue arrive, de son pas de statue, elle est en grand deuil mais lève aussi les yeux. D'un signe de la main, je salue la passante et je rêve déjà d'une aventure charmante.
Mais le temps est un démon qui tente et me laisse pantois. Le poète sait bien que les heures sont comptées et le spleen revient avec ses cauchemars.