Vénus ou Aphrodite est une divinité les plus célèbres de l'Antiquité: c'est elle qui présidait aux plaisirs de l'amour. Sur son origine, comme sur celle de beaucoup d'autres dieux ou déesses, les poètes ne sont pas d'accord. On a d'abord distingué deux Vénus: l'une s'est formé de l'écume de la mer échauffé par le sang de Caelus ou Uranus. Cette déesse ainsi conçue serait la véritable Aphrodite, c'est-à-dire née de l'écume, en grec Aphros.
On a donné quelquefois à cette divinité une origine moins bizarre, en disant qu'elle était issue de Jupiter et de Dioné, fille de Neptune, et par conséquent sa cousine germaine.
Cependant même si les poètes ont différente vision de l'origine de Vénus, elle reste à la fois céleste et marine, déesse de la beauté et des plaisirs, mère des Amours, des Grâce, des Jeux. Elle fut donnée par Jupiter comme épouse à Vulcain. Elle aima passionnément Adonis, fut la mère d'Éros ou Cupidon ou encore l'Amour, celle du pieux Énée, celle d'un grand nombre de mortels, car ses liaisons avec les habitants du ciel, de la terre et de la mer furent incalculables, infinies.
Plusieurs temples sont à son honneur comme par exemple dans l'île de Chypre, à Paphos, à Amathonte, et plein d'autres... On l'appelait aussi Dioné, comme sa mère; Anadyomène, c'est-à-dire "sortant des eaux".
Après son aventure avec Mars, elle se retira d'abord à Paphos, puis alla se cacher dans les bois de Caucase. Tous les dieux la cherchèrent longtemps en vain; mais une vieille leur apprit le lieu de sa retraite: la déesse la punit en la métamorphosant en rocher.
On lui consacre (à Aphrodite) , des fleurs (rose), des fruits comme la pomme et la grenade, des arbres (le myrte); oiseaux (le cygne, le moineau et surtout la colombe). On lui sacrifiait le bouc, le verrat, le lièvre, et rarement de grandes victimes.
On la représentait entièrement ou à demi nue, jeune, belle. Habituellement riante, tantôt émergeant du sein des flots, debout. Les Spartiates la représentèrent tout armée.
IL existe de Vénus un grand nombre de statues: les plus belles et les plus célèbres sont la Vénus de Médicis que l'ont croit être une copie de la Vénus de Cnide, la Vénus d'Arles, la Vénus de Milo. Mais aussi des médailles tels que la médaille de l'impératrice Faustine.
Dans plusieurs tableaux modernes, cette divinité est représenté sur son char, traîné par deux cygnes, portant une couronne de roses et une chevelure blonde, la joie illumine son visage souriant. Autour d'elle deux colombe jouent.
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Réponse :
Vénus ou Aphrodite est une divinité les plus célèbres de l'Antiquité: c'est elle qui présidait aux plaisirs de l'amour. Sur son origine, comme sur celle de beaucoup d'autres dieux ou déesses, les poètes ne sont pas d'accord. On a d'abord distingué deux Vénus: l'une s'est formé de l'écume de la mer échauffé par le sang de Caelus ou Uranus. Cette déesse ainsi conçue serait la véritable Aphrodite, c'est-à-dire née de l'écume, en grec Aphros.
On a donné quelquefois à cette divinité une origine moins bizarre, en disant qu'elle était issue de Jupiter et de Dioné, fille de Neptune, et par conséquent sa cousine germaine.
Cependant même si les poètes ont différente vision de l'origine de Vénus, elle reste à la fois céleste et marine, déesse de la beauté et des plaisirs, mère des Amours, des Grâce, des Jeux. Elle fut donnée par Jupiter comme épouse à Vulcain. Elle aima passionnément Adonis, fut la mère d'Éros ou Cupidon ou encore l'Amour, celle du pieux Énée, celle d'un grand nombre de mortels, car ses liaisons avec les habitants du ciel, de la terre et de la mer furent incalculables, infinies.
Plusieurs temples sont à son honneur comme par exemple dans l'île de Chypre, à Paphos, à Amathonte, et plein d'autres... On l'appelait aussi Dioné, comme sa mère; Anadyomène, c'est-à-dire "sortant des eaux".
Après son aventure avec Mars, elle se retira d'abord à Paphos, puis alla se cacher dans les bois de Caucase. Tous les dieux la cherchèrent longtemps en vain; mais une vieille leur apprit le lieu de sa retraite: la déesse la punit en la métamorphosant en rocher.
On lui consacre (à Aphrodite) , des fleurs (rose), des fruits comme la pomme et la grenade, des arbres (le myrte); oiseaux (le cygne, le moineau et surtout la colombe). On lui sacrifiait le bouc, le verrat, le lièvre, et rarement de grandes victimes.
On la représentait entièrement ou à demi nue, jeune, belle. Habituellement riante, tantôt émergeant du sein des flots, debout. Les Spartiates la représentèrent tout armée.
IL existe de Vénus un grand nombre de statues: les plus belles et les plus célèbres sont la Vénus de Médicis que l'ont croit être une copie de la Vénus de Cnide, la Vénus d'Arles, la Vénus de Milo. Mais aussi des médailles tels que la médaille de l'impératrice Faustine.
Dans plusieurs tableaux modernes, cette divinité est représenté sur son char, traîné par deux cygnes, portant une couronne de roses et une chevelure blonde, la joie illumine son visage souriant. Autour d'elle deux colombe jouent.
Le vendredi lui était consacré (Veneris dies)
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