Bonjour, j'ai besoin d'un résumé court mais qui explique bien l'histoire de L'Ecole des Femmes de Molière, je ne trouve que des résumés par actes.
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ldutech
J'ai trouver sa: Arnolphe prétend qu’une femme ne peut être sage et vertueuse qu’autant qu’elle est ignorante et niaise. Aussi, pour avoir une épouse à sa guise, il fait élever sa jeune pupille, Agnès, au fond de sa maison, sous la garde d’un valet et d’une servante aussi niais qu’elle.
La jeune Agnès, qui a été élevée dans la plus grossière ignorance, se fatigue bientôt de l’isolement où on la retient. S’étant mise un jour à la fenêtre, elle aperçoit un beau jeunehomme qui la salue ; elle, qui ignore jusqu’aux plus simples convenances, rend le salut qu’on lui fait et se laisse bientôt prendre au bel air et aux belles paroles du jeune Horace. On rit du supplice où tes confidences d’Horace mettent le pauvre Arnolphe qui finit par faire pitié, tant il est puni de son système d’éducation.
La leçon que voulait donner Molière était bonne, sans doute, mais nous l’avouerons, elle est présentée sous une forme qui n’est pas sans danger, et le poète s’y permet des plaisanteries, des jeux de mots et des expressions dont une oreille chaste peut s’alarmer avec raison. Du temps de Molière, cette pièce souleva contre lui des critiques si amères qu’il se crut obligé d’y répondre par une petite comédie intitulée la Critique de L’École des Femmes.
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Titiop
Merci, y'a juste la fin que je trouve brusque ^^
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La jeune Agnès, qui a été élevée dans la plus grossière ignorance, se fatigue bientôt de l’isolement où on la retient. S’étant mise un jour à la fenêtre, elle aperçoit un beau jeunehomme qui la salue ; elle, qui ignore jusqu’aux plus simples convenances, rend le salut qu’on lui fait et se laisse bientôt prendre au bel air et aux belles paroles du jeune Horace. On rit du supplice où tes confidences d’Horace mettent le pauvre Arnolphe qui finit par faire pitié, tant il est puni de son système d’éducation.
La leçon que voulait donner Molière était bonne, sans doute, mais nous l’avouerons, elle est présentée sous une forme qui n’est pas sans danger, et le poète s’y permet des plaisanteries, des jeux de mots et des expressions dont une oreille chaste peut s’alarmer avec raison. Du temps de Molière, cette pièce souleva contre lui des critiques si amères qu’il se crut obligé d’y répondre par une petite comédie intitulée la Critique de L’École des Femmes.