Bonjour j'ai cette question... Mais je ne voit pas comment y répondre... Simplement... Pouvez vous m'aider ?? Proposer une réponse personnelle et argumentée à la question : quelle est la liberté qui l’emporte : la liberté d’expression de Mila, des dessinateurs de Charlie Hebdo ou la liberté de conscience des musulmans ?....
Lorsque j'étais enfant mon père m' a raconté que chaque année il avait participé au carnaval de notre ville. Il m'a expliqué les déguisements, les chars, les masques, les rires....
Chacun pouvait se déguiser et porter des calicots sur lesquels on s'exprimait en toute liberté.
Néanmoins, deux domaines étaient totalement exclus du carnaval : les uniformes officiels des agents de l'administration ( policiers, gendarmes, douaniers... ) et la religion ( prêtres, moines, nonnes....).
A cette époque lointaine ( avant la seconde guerre mondiale ) chacun respectait ces restrictions et il n'y a jamais eu, paraît -il, aucun " dérapage ".
Je pense que chacun doit pouvoir s'exprimer au maximum, critiquer ce qui lui semble inadapté ou néfaste mais qu'il faut respecter une limite quand l'expression de cette liberté atteint le domaine de ce qui, pour certains, est sacré, donc, pour eux, intouchable.
Transgresser cette limite au nom de la liberté d'expression me semble particulièrement cruel vis à vis d'autrui et risque alors d'être pris pour du fanatisme et sacrilège.... avec des réactions comme celles que l'on connaît.
Quel homme pourrait, par exemple, rester indifférent et calme si quelqu'un osait devant lui traiter de manière obscène la réputation de sa mère ?
Je pense que la liberté d'expression et de critique doit pouvoir s'exercer au maximum mais ne pas devenir, délibérément, de la provocation.
Ne pas faire à autrui ce que je ne supporterais pas qu'il me fasse..... ( ? )
Voilà une réflexion toute subjective, elle n'a pas la prétention de valoir mieux que beaucoup d'autres.
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Bonjour,
Voici une ébauche de réponse toute personnelle.
Lorsque j'étais enfant mon père m' a raconté que chaque année il avait participé au carnaval de notre ville. Il m'a expliqué les déguisements, les chars, les masques, les rires....
Chacun pouvait se déguiser et porter des calicots sur lesquels on s'exprimait en toute liberté.
Néanmoins, deux domaines étaient totalement exclus du carnaval : les uniformes officiels des agents de l'administration ( policiers, gendarmes, douaniers... ) et la religion ( prêtres, moines, nonnes....).
A cette époque lointaine ( avant la seconde guerre mondiale ) chacun respectait ces restrictions et il n'y a jamais eu, paraît -il, aucun " dérapage ".
Je pense que chacun doit pouvoir s'exprimer au maximum, critiquer ce qui lui semble inadapté ou néfaste mais qu'il faut respecter une limite quand l'expression de cette liberté atteint le domaine de ce qui, pour certains, est sacré, donc, pour eux, intouchable.
Transgresser cette limite au nom de la liberté d'expression me semble particulièrement cruel vis à vis d'autrui et risque alors d'être pris pour du fanatisme et sacrilège.... avec des réactions comme celles que l'on connaît.
Quel homme pourrait, par exemple, rester indifférent et calme si quelqu'un osait devant lui traiter de manière obscène la réputation de sa mère ?
Je pense que la liberté d'expression et de critique doit pouvoir s'exercer au maximum mais ne pas devenir, délibérément, de la provocation.
Ne pas faire à autrui ce que je ne supporterais pas qu'il me fasse..... ( ? )
Voilà une réflexion toute subjective, elle n'a pas la prétention de valoir mieux que beaucoup d'autres.
J'espère avoir pu t'aider.