October 2020 1 211 Report
Bonjour j’ai écrit une fable sur l’apparence j’aimerais avoir votre avis que vous me corriger et si possible me trouver une moral et des rimes
LE bonobo et le tigre
Un tigre se promena et vit une bonobo
Celui ci était en train d’accoster une guepard
Qui l’envoya balader
Le tigre se marra et dit <<
-pas étonnant qu’elle ne veux pas de toi,
Non mais regarde toi, penses tu vraiment trouver l’amour un jour
Le bonobo triste et énerver répliqua
-oui je le pense et puis.. tout le monde n’est pas comme toi.. enfin.. j’veux dire tout le monde ne s’arrête pas qu’au phisique
Le tigre dit
- BIEN SUR QUE SI
Le physique est bien là première chose que l’on voit avec un physique comme le mien tout le monde tombe amoureux
Le bonobo répliqua
-cesse de te venter
la beauté extérieur attire mais la beauté intérieure retiens
Or tu n’as que la beauté extérieure
pas étonnant que tout le monde s’enfui après t’avoir rencontré
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Bonjour je n’arrive pas a repondre a ces questions voici le texte Hémon, entre en criant. – Père ! Créon, court à lui, l’embrasse. – Oublie-la, Hémon ; oublie-la, mon petit. Hémon. – Tu es fou, père. Lâche-moi. Créon, le tient plus fort. – J’ai tout essayé pour la sauver, Hémon. J’ai tout essayé, je te le jure. Elle ne t’aime pas. Elle aurait pu vivre. Elle a préféré sa folie et la mort. Hémon, crie, tentant de s’arracher à son étreinte. – Mais, père, tu vois bien qu’ils l’emmènent ! Père, ne laisse pas ces hommes l’emmener ! Créon. – Elle a parlé maintenant. Tout Thèbes sait ce qu’elle a fait. Je suis obligé de la faire mourir. Hémon, s’arrache de ses bras. – Lâche-moi ! Un silence. Ils sont l’un en face de l’autre. Ils se regardent. Le chœur, s’approche. – Est-ce qu’on ne peut pas imaginer quelque chose, dire qu’elle est folle, l’enfermer ? Créon. – Ils diront que ce n’est pas vrai. Que je la sauve parce qu’elle allait être la femme de mon fils. Je ne peux pas. Le chœur. – Est-ce qu’on ne peut pas gagner du temps, la faire fuir demain ? Créon. – La foule sait déjà, elle hurle autour du palais. Je ne peux pas. Hémon. – Père, la foule n’est rien. Tu es le maître. Créon. – Je suis le maître avant la loi. Plus après. Hémon. – Père, je suis ton fils, tu ne peux pas me la laisser prendre. Créon. – Si, Hémon. Si, mon petit. Du courage. Antigone ne peut plus vivre. Antigone nous a déjà quittés tous. Hémon. – Crois-tu que je pourrai vivre, moi, sans elle ? Crois-tu que je l’accepterai, votre vie ? Et tous les jours, depuis le matin jusqu’au soir, sans elle. Et votre agitation, votre bavardage, votre vide, sans elle. Créon. – Il faudra bien que tu acceptes, Hémon. Chacun de nous a un jour, plus ou moins triste, plus ou moins lointain, où il doit enfin accepter d’être un homme. Pour toi, c’est aujourd’hui… Et te voilà devant moi avec ces larmes au bord de tes yeux et ton cœur qui te fait mal – mon petit garçon, pour la dernière fois… Quand tu te seras détourné, quand tu auras franchi ce seuil tout à l’heure, ce sera fini.
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