Bonjour. J'ai fais un sujet de réflexion type brevet. Auriez-vous des pistes et commentaires pour m'aider à m'améliorer ? Merci d'avance. Problématique : Selon vous, y a-t-il des situations où il faut s'engager dans des cations violentes pour défendre la liberté ou faut-il rester pacifiste quoi qu'il arrive ?
Voici mon travail :
Nous vivons dans une monde en constante évolution. Un monde où pour défendre notre liberté, nous pouvons être amené à nous demander s'il n'y a pas des situations où il faudrait s'engager dans des cations violentes ou, au contraire, rester pacifique quoi qu'il arrive.
Que ce soit dans l'histoire ou l'actualité, la littérature ou la chanson, ce sujet a toujours été au centre des préoccupations. Pour cause, rien n'est plus important que notre liberté.
Pour répondre à la question du sujet : « Selon vous, y a-t-il des situations où il faut s'engager dans des cations violentes pour défendre la liberté ou faut-il rester pacifiste quoi qu'il arrive ? », nous verrons dans un premier temps comment la violence a permis des changements rapides et durables. Puis nous nous pencherons sur le pacifisme et les avancées qu'il a permis. Enfin, nous constaterons les échecs de ces deux pratiques et leurs limites.
Peu de personnes apprécient la violence, néanmoins elle s'est avérée très utile – voir indispensable – dans certains cas. Le monde que nous connaissons aujourd'hui n'existerait pas sans la Révolution française. Or, nous savons que cette dernière n'aurait jamais porté ses fruits sans la violences dont le peuple avait fait preuve. Certes, nombreux nobles ont été assassinés – de même que le roi guillotiné. Mais ces actions violentes ont permis aux gens du peuple de devenir des citoyens à part entière de la France ainsi qu'à la monarchie absolue de disparaître de notre pays.
De même, durant la Seconde Guerre Mondiale, les F.F.I (forces françaises intérieures) et les F.F.L (forces françaises libres) ont dû faire preuve de violence pour résister. Ils ont exécuté des attentats, saboté des chemins de fer, commis des assassinats. Mais sans cela, peut-être qu'Hitler aurait gagné la guerre.
En résumé, la violence permet des changements rapides et durables. Mais ce n'est pas pour autant le seul moyen de faire entendre sa voix.
En effet, à une ère où la violence effraie et repousse, de plus en plus de personnes se retournent vers les réseaux sociaux pour défendre leurs libertés. Ce partage fait sur les réseaux sociaux a entraîné peu à peu de plus en plus de personnes victimes harcèlement ou d'agression sexuelle à libérer leur parole et a raconter leur histoire. Ce mouvement a travers les frontières – aussi bien réelles que virtuelles – et a pris tant d'ampleur qu'il a été impossible à ignorer pour l’État qui a pu mettre en place des mesures de soutien et du personnel spécialisé à disposition des victimes. Inutile de remonter bien loin dans l'actualité, des hashtags comme « #Metoo » ou encore « #Balencetonporc » ont beaucoup circulé récemment.
De même, de nombreux artistes se sont saisis du mouvement dont Angèle. Cette chanteuse belge est devenue la nouvelle icône francophone du féminisme grâce à sa chanson « Balance ton quoi » (référence à #Balancetonporc) où elle dénonce les pressions que la société met sur les femmes sans chercher à les comprendre.
En résumé, la défense pacifique de la liberté est lié à une certaine forme de maturité ou de sagesse qui ne demande que la compréhension et les changements.
Nous avons bien vu que la violence comme le pacifisme apportent des résultats. Mais, nous le savons, rien n'est infaïble et un écart est vite arrivé dans le feu de l'action. Les personnes n'étant pas directement impliquées dans le mouvement peuvent prendre peur lors de ces démonstrations de violences. Les pays étrangés, dont les médias s'emparent du problème, peuvent développés une mauvaise image à notre égard. Celle d'un pays dangereux où aucun ordre de règne. Pour reprendre l'actualité, de nombreuses manifestations pour la réforme des retraites (avant Covid-19) initialement pacifiste mais devenues violentes ont entraîné des conséquences.
Mais alors, violence ou pacifisme ? Avec les arguments que nous venons d'apporter, nous pouvons dire que cette question est destinée à ne pas connaître de réponse. Néanmoins, nous pouvons relever que chaque situation est différente, et quand conséquence, la défense de la liberté est très variable.
C'est certainement là toute la difficulté de cette question : la violence permet-elle de lutter contre la violence ? Le pacifisme a ses limites mais peut-être est-ce la solution qui sur le long terme portera ses fruits. Mais l'homme est-il capable d'attendre et de faire preuve de sagesse de manière infinie sans passer à l'acte au nom de la liberté ?
L'espoir fait vivre d'après l'expression... mais une fin est-elle réellement envisageable quand rien ne se concrétise ? Cela semble relever davantage d'une vision pessimiste ou optimiste de la vie ou encore des situations.
Voici mon travail :
Nous vivons dans une monde en constante évolution. Un monde où pour défendre notre liberté, nous pouvons être amené à nous demander s'il n'y a pas des situations où il faudrait s'engager dans des cations violentes ou, au contraire, rester pacifique quoi qu'il arrive.
Que ce soit dans l'histoire ou l'actualité, la littérature ou la chanson, ce sujet a toujours été au centre des préoccupations. Pour cause, rien n'est plus important que notre liberté.
Pour répondre à la question du sujet : « Selon vous, y a-t-il des situations où il faut s'engager dans des cations violentes pour défendre la liberté ou faut-il rester pacifiste quoi qu'il arrive ? », nous verrons dans un premier temps comment la violence a permis des changements rapides et durables. Puis nous nous pencherons sur le pacifisme et les avancées qu'il a permis. Enfin, nous constaterons les échecs de ces deux pratiques et leurs limites.
Peu de personnes apprécient la violence, néanmoins elle s'est avérée très utile – voir indispensable – dans certains cas. Le monde que nous connaissons aujourd'hui n'existerait pas sans la Révolution française. Or, nous savons que cette dernière n'aurait jamais porté ses fruits sans la violences dont le peuple avait fait preuve. Certes, nombreux nobles ont été assassinés – de même que le roi guillotiné. Mais ces actions violentes ont permis aux gens du peuple de devenir des citoyens à part entière de la France ainsi qu'à la monarchie absolue de disparaître de notre pays.
De même, durant la Seconde Guerre Mondiale, les F.F.I (forces françaises intérieures) et les F.F.L (forces françaises libres) ont dû faire preuve de violence pour résister. Ils ont exécuté des attentats, saboté des chemins de fer, commis des assassinats. Mais sans cela, peut-être qu'Hitler aurait gagné la guerre.
En résumé, la violence permet des changements rapides et durables. Mais ce n'est pas pour autant le seul moyen de faire entendre sa voix.
En effet, à une ère où la violence effraie et repousse, de plus en plus de personnes se retournent vers les réseaux sociaux pour défendre leurs libertés. Ce partage fait sur les réseaux sociaux a entraîné peu à peu de plus en plus de personnes victimes harcèlement ou d'agression sexuelle à libérer leur parole et a raconter leur histoire. Ce mouvement a travers les frontières – aussi bien réelles que virtuelles – et a pris tant d'ampleur qu'il a été impossible à ignorer pour l’État qui a pu mettre en place des mesures de soutien et du personnel spécialisé à disposition des victimes. Inutile de remonter bien loin dans l'actualité, des hashtags comme « #Metoo » ou encore « #Balencetonporc » ont beaucoup circulé récemment.
De même, de nombreux artistes se sont saisis du mouvement dont Angèle. Cette chanteuse belge est devenue la nouvelle icône francophone du féminisme grâce à sa chanson « Balance ton quoi » (référence à #Balancetonporc) où elle dénonce les pressions que la société met sur les femmes sans chercher à les comprendre.
En résumé, la défense pacifique de la liberté est lié à une certaine forme de maturité ou de sagesse qui ne demande que la compréhension et les changements.
Nous avons bien vu que la violence comme le pacifisme apportent des résultats. Mais, nous le savons, rien n'est infaïble et un écart est vite arrivé dans le feu de l'action. Les personnes n'étant pas directement impliquées dans le mouvement peuvent prendre peur lors de ces démonstrations de violences. Les pays étrangés, dont les médias s'emparent du problème, peuvent développés une mauvaise image à notre égard. Celle d'un pays dangereux où aucun ordre de règne. Pour reprendre l'actualité, de nombreuses manifestations pour la réforme des retraites (avant Covid-19) initialement pacifiste mais devenues violentes ont entraîné des conséquences.
Mais alors, violence ou pacifisme ? Avec les arguments que nous venons d'apporter, nous pouvons dire que cette question est destinée à ne pas connaître de réponse. Néanmoins, nous pouvons relever que chaque situation est différente, et quand conséquence, la défense de la liberté est très variable.
C'est certainement là toute la difficulté de cette question : la violence permet-elle de lutter contre la violence ? Le pacifisme a ses limites mais peut-être est-ce la solution qui sur le long terme portera ses fruits. Mais l'homme est-il capable d'attendre et de faire preuve de sagesse de manière infinie sans passer à l'acte au nom de la liberté ?
L'espoir fait vivre d'après l'expression... mais une fin est-elle réellement envisageable quand rien ne se concrétise ? Cela semble relever davantage d'une vision pessimiste ou optimiste de la vie ou encore des situations.