Dans le document 3, on constate que pour faire pousser une plante non- légumineuse comme le blé, on peut utiliser deux pratiques afin de fournir de l’azote :
•Utilisation d’engrais chimique azoté donnés chaque année. L’avantage est que l’on peut planter immédiatement mais le risque de pollution est important si on surdose.
• Utilisation de bactéries Rhizobium mais pour cela il faut planter l’année précédente des plantes légumineuses, comme le pois chiche. Ces plantes associées à la bactérie vont capter l’azote de l’air. L’avantage est de ne pas avoir de pollution car les céréales plantées ensuite se nourrissent des restes de légumineuses.
Dans le document 4, on constate que lorsque l’on utilise des engrais azotés, une plante de pois chiche (légumineuse) produit environ 12g de matière sèche. Si on utilise des bactéries rhizobium, la plante produira environ 10g, ce qui est moins qu’avec des engrais. Ces deux méthodes améliorent la production si on compare avec le témoin (culture 3) où l’on n’obtient que 6g.
Donc en bilan, on peut dire que l’utilisation des engrais azotés améliorent plus les rendements (si on obtient les mêmes résultats pour une culture de non-légumineuse que ce que l’on voit avec le pois chiche) mais au détriment de l’environnement.
L’utilisation des bactéries est un peu moins efficace mais plus respectueuse de l’environnement.
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Salut !
Dans le document 3, on constate que pour faire pousser une plante non- légumineuse comme le blé, on peut utiliser deux pratiques afin de fournir de l’azote :
•Utilisation d’engrais chimique azoté donnés chaque année. L’avantage est que l’on peut planter immédiatement mais le risque de pollution est important si on surdose.
• Utilisation de bactéries Rhizobium mais pour cela il faut planter l’année précédente des plantes légumineuses, comme le pois chiche. Ces plantes associées à la bactérie vont capter l’azote de l’air. L’avantage est de ne pas avoir de pollution car les céréales plantées ensuite se nourrissent des restes de légumineuses.
Dans le document 4, on constate que lorsque l’on utilise des engrais azotés, une plante de pois chiche (légumineuse) produit environ 12g de matière sèche. Si on utilise des bactéries rhizobium, la plante produira environ 10g, ce qui est moins qu’avec des engrais. Ces deux méthodes améliorent la production si on compare avec le témoin (culture 3) où l’on n’obtient que 6g.
Donc en bilan, on peut dire que l’utilisation des engrais azotés améliorent plus les rendements (si on obtient les mêmes résultats pour une culture de non-légumineuse que ce que l’on voit avec le pois chiche) mais au détriment de l’environnement.
L’utilisation des bactéries est un peu moins efficace mais plus respectueuse de l’environnement.