bonjour! j'ai reçu un devoir maison en français où l'une des questions est :"Montrez, en vous appuyant sur les quatre passages étudiés (textes n° 6, 7, 8 et 9), que L’Adversaire est une œuvre d’un genre complexe (en deux paragraphes de dissertation)" Et je vous demande de l'aide car je ne sais pas ce qu'est un genre littéraire complexe.Pouvez vous me le définir s'il vous plaît? Merci!!
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Bonjour! alors voila je dois étudier les allusions à la mort et au destin dans l’acte I/scène 3 de Roméo et Juliette , mais je ne parviens pas à les trouver!! pouvez-vous m'aider s'il vous plaît? voici le texte:LADY CAPULET. - Nourrice, où est ma fille ? Appelle-la.LA NOURRICE. - Eh ! par ma virginité de douze ans, je lui ai dit devenir.. (Appelant. ) Allons, mon agneau ! allons, mon oiselle ! Dieu mepardonne !... Où est donc cette fille ?...Allons, Juliette !Entre Juliette.JULIETTE. - Eh bien, qui m'appelle ?LA NOURRICE. - Votre mère.JULIETTE. - Me voici, madame. Quelle est votre volonté ?LADY CAPULET. - Voici la chose... Nourrice, laisse-nous un peu ; nousavons à causer en secret... (La nourrice va pour sortir.) Non, reviens,nourrice ; je me suis ravisée, tu assisteras à notre conciliabule. Tu sais quema fille est d'un joli âge.LA NOURRICE. - Ma foi, je puis dire son âge à une heure près.LADY CAPULET. - Elle n'a pas quatorze ans.LA NOURRICE. - Je parierais quatorze de mes dents, et, à ma grandedouleur je n'en ai plus que quatre, qu'elle n'a pas quatorze ans... Combien ya-t-il d'ici à la Saint-Pierre-ès-Liens ?LADY CAPULET. - Une quinzaine au moins.LA NOURRICE. - Au moins ou au plus, n'importe ! Entre tous les jours del'année, c'est précisément la veille au soir de la Saint-Pierre-ès-Liensqu'elle aura quatorze ans. Suzanne et elle, Dieu garde toutes les âmeschrétiennes ! étaient du même âge... Oui, à présent, Suzanne est avecDieu : elle était trop bonne pour moi ; mais, comme je disais, la veille ausoir de la Saint-Pierre-ès-Liens elle aura quatorze ans ; elle les aura, maparole. Je m'en souviens bien. Il y a maintenant onze ans du tremblement de terre ; et elle fut sevrée, je ne l'oublierai jamais, entre tous les jours de l'année, précisément ce jour-là ; car j'avais mis de l'absinthe au bout de mon sein, et j'étais assise au soleil contre le mur du pigeonnier ;monseigneur et vous, vous étiez alors à Mantoue... Oh ! j'ai le cerveau solide !... Mais, comme je disais, dès qu'elle eut goûté l'absinthe au bout demon sein et qu'elle en eut senti l'amertume, il fallait voir comme la petitefolle, toute furieuse, s'est emportée contre le téton ! Tremble, fit lepigeonnier ; il n'était pas besoin, je vous jure, de me dire de décamper... Etil y a onze ans de ça ; car alors elle pouvait se tenir toute seule ; oui, par lasainte croix, elle pouvait courir et trottiner tout partout ; car, tenez, la veillemême, elle s'était cogné le front ; et alors mon mari, Dieu soit avec sonâme ! c'était un homme bien gai ! releva l'enfant : oui-da, dit-il, tu tombessur la face ?Quand tu auras plus d'esprit, tu tomberas sur le dos ; n'est-ce pas, Juju ? Et,par Notre-Dame, la petite friponne cessa de pleurer et dit : oui ! Voyezdonc à présent comme une plaisanterie vient à point ! Je garantis que,quand je vivrais mille ans, je n'oublierais jamais ça : N'est-ce pas, Juju ?fit-il ; et la petite folle s'arrêta et dit : oui !LADY CAPULET. - En voilà assez ; je t'en prie, tais-toi.LA NOURRICE. - Oui, madame ; pourtant je ne peux pas m'empêcher de rire quand je songe qu'elle cessa de pleurer et dit : oui ! Et pourtant jegarantis qu'elle avait au front une bosse aussi grosse qu'une coque de jeunepoussin, un coup terrible ! et elle pleurait amèrement. oui-da, fit mon mari,tu tombes sur la face ? Quand tu seras d'âge, tu tomberas sur le dos :n'est-ce pas, Juju ? Et elle s'arrêta et dit : oui !JULIETTE. - Arrête-toi donc aussi, je t'en prie, nourrice !LA NOURRICE. - Paix ! j'ai fini. Que Dieu te marque de sa grâce ! tu étaisle plus joli poupon que j'aie jamais nourri ; si je puis vivre pour te voirmarier un jour, je serai satisfaite.LADY CAPULET : - Voilà justement le sujet dont je viens l'entretenir..Dis-moi, Juliette, ma fille, quelle disposition te sens-tu pour le mariage ?JULIETTE. - C'est un honneur auquel je n'ai pas même songé.LA NOURRICE. - Un honneur ! Si je n'étais pas ton unique nourrice, jedirais que tu as sucé la sagesse avec le lait.LADY CAPULET. - Eh bien, songez au mariage, dès à présent ; de plus 16 plus jeunes que vous, dames fort estimées, ici à Vérone même, sont déjà devenues mères ; si je ne me trompe, j'étais mère moi-même avant l'âge où vous êtes fille encore. En deux mots, voici : le vaillant Pâris vousrecherche pour sa fiancée.LA NOURRICE. - Voilà un homme, ma jeune dame ! un homme commele monde entier.. Quoi ! c'est un homme en cire !LADY CAPULET. - Le parterre de Vérone n'offre pas une fleur pareille.LA NOURRICE. - Oui, ma foi, il est la fleur du pays, la fleur par excellence.MERCI A QUI M'AIDERA
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Bonjour! Alors voilà, j'ai un devoir à faire en français et l'une de ces questions est: montrer que la reine mab est une créature construite par l'imagination. Elle concerne un passage de Roméo et Juliette de SHAKESPEARE que je publierai en-dessous. J'ai trouver que cette reine était une reine mythique en Irlande, et que la tirade de Mercutio est une tirade d'ornement pour illustrer le contraste entre imagination réaliste et cynique de ce personnage. Pourriez-vous m'aider à me compléter? D'avance merci ! :)"MERCUTIO. - Oh ! je vois bien, la reine Mab vous a fait visite.Elle est la fée accoucheuse et elle arrive, pas plus grande qu'une agate à l'index d'un alderman, traînée par un attelage de petits atomes à travers les nez des hommes qui gisent endormis. Les rayons des roues de son char sont faits de longues pattes de faucheux ; la capote, d'ailes de sauterelles ; les rênes, de la plus fine toile d'araignée ; les harnais, d'humides rayons de lune. Son fouet, fait d'un os de griffon, a pour corde un fil de la Vierge. Son cocher est un petit cousin en livrée grise, moins gros de moitié qu'une petite bête ronde tirée avec une épingle du doigt paresseux d'une servante. Son chariot est une noisette, vide, taillée par le menuisier écureuil ou par le vieux ciron, carrossier immémorial des fées. C'est dans cet apparat qu'elle galope de nuit en nuit à travers les cerveaux des amants qui alors rêvent d'amour sur les genoux des courtisans qui rêvent aussitôt de courtoisies, sur les doigts des gens de loi qui aussitôt rêvent d'honoraires, sur les lèvres des dames qui rêvent de baisers aussitôt ! Ces lèvres, Mab les crible souvent d'ampoules, irritée de ce que leur haleine est gâtée par quelque pommade. Tantôt elle galope sur le nez d'un solliciteur, et vite il rêve qu'il flaire une place ; tantôt elle vient avec la queue d'un cochon de la dîme chatouiller la narine d'un curé endormi, et vite il rêve d'un autre bénéfice ; tantôt elle passe sur le cou d'un soldat, et alors il rêve de gorges ennemies coupées, de brèches, d'embuscades, de lames espagnoles, de rasades profondes de cinq brasses, et puis de tambours battant à son oreille ; sur quoi il tressaille, s'éveille, et, ainsi alarmé, jure une prière ou deux, et se rendort. C'est cette même Mab qui, la nuit, tresse la crinière des chevaux et dans les poils emmêlés durcit ces noeuds magiques qu'on ne peut débrouiller sans encourir malheur.C'est la stryge qui, quand les filles sont couchées sur le dos, les étreint et les habitue à porter leur charge pour en faire des femmes à solide carrure. C'est elle..."
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