Bonjour j'ai un commentaire a faire sur le poème "Crépuscule du soir mystique" de Paul Verlaine. Est-ce que vous pourriez m'aider ?
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dadidushnok
Le poème Crépuscule du soir mystique a été écrit par Paul Verlaine. C'est un des poèmes Saturniens et le second poème des paysages tristes. Il est composé de 13 vers de 10 pieds. C'est donc un poème de décasyllabes. Le vers 13 et le vers 1 sont les mêmes : c'est une répétition. Il y a des rimes embrassées, plates, et alternées. Il y a une subordonnée de manière au vers 4 "ainsi qu'une cloison". Les sens sont très présents dans ce poème. Il y a le sens de la vue présents presque dans tout le poème. Et le sens de l'odorat au vers 8 "la maladive exhalaisons", au vers 9 "des parfums lourds et chauds", et au vers 10 il y a des exemples de différentes senteurs "dahlia, lys tulipe, et renoncule". Le sens du toucher est lui aussi présent grâce à une sensation ressentie envers les parfums au vers 9 "lourds et chauds". Mais le sens de l'ouïe et du gout est absent dans tout le poème. Il y plusieurs personnification dans le poème. Au vers 1, 3, et 13 les mots espérance, souvenir, et crépuscule sont personnifiés. On le voit car ils sont écris en lettres majuscules. Ces mots se rapportent au passé mais sont tournés vers l'avenir et l'espoir grâce au mot "Espérance". Il y a un champ lexical du mouvement circulaire, du mouvement de réduction, et 'du mouvement d'élargissement. On le voit grâce à des adjectifs, des prépositions, et des verbes. Ces mouvement sont principalement reconnaissables au vers 3 "qui recule", au vers 4 "et s'agrandit" au vers 7 "s'élance autour d'un treillis et circule", et au vers 12 "mêle, dans une immense pâmoison". Il y a le champs lexical de l'esprit humain au vers 11 "mes sens, mon âme, et ma raison". Verlaine exprime ainsi son sentiment d'être perdu grâce au vers 11 "noyant", et au vers 12, qui peut être approprier au vers 11 ainsi qu'au vers 13. En conclusion, les 13 vers du poème ne forment véritablement qu'une seule phrase. Celle-ci se compose des mots les plus importants du poème, c'est-à-dire les trois mots personnifiés, ainsi qu'un verbe. La phrase qui résume donc le poème est "l'espérance... mêle... le souvenir avec le crépuscule".
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cloclotomass
Je te remercie de m'avoir aider mais ce que tu a fait est plus une description de texte qu'un commentaire. Un commentaire ce continue de 3 grandes partie elles même suivi chacune de 3 sous partie. Voilà le schéma de la structure d'un bon commentaire:
cloclotomass
Ce que tu a fait va sûrement m'aider mais Si tu veux bien approfondir tes recherches en suivant vraiment la structure d'un commentaire avec un plan bien structuré je t'en serais très reconnaissante et t'offrirais autant de points que possible. Merci à toi bonne soirée.
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Il est composé de 13 vers de 10 pieds. C'est donc un poème de décasyllabes. Le vers 13 et le vers 1 sont les mêmes : c'est une répétition. Il y a des rimes embrassées, plates, et alternées. Il y a une subordonnée de manière au vers 4 "ainsi qu'une cloison".
Les sens sont très présents dans ce poème. Il y a le sens de la vue présents presque dans tout le poème. Et le sens de l'odorat au vers 8 "la maladive exhalaisons", au vers 9 "des parfums lourds et chauds", et au vers 10 il y a des exemples de différentes senteurs "dahlia, lys tulipe, et renoncule". Le sens du toucher est lui aussi présent grâce à une sensation ressentie envers les parfums au vers 9 "lourds et chauds". Mais le sens de l'ouïe et du gout est absent dans tout le poème.
Il y plusieurs personnification dans le poème. Au vers 1, 3, et 13 les mots espérance, souvenir, et crépuscule sont personnifiés. On le voit car ils sont écris en lettres majuscules. Ces mots se rapportent au passé mais sont tournés vers l'avenir et l'espoir grâce au mot "Espérance".
Il y a un champ lexical du mouvement circulaire, du mouvement de réduction, et 'du mouvement d'élargissement. On le voit grâce à des adjectifs, des prépositions, et des verbes. Ces mouvement sont principalement reconnaissables au vers 3 "qui recule", au vers 4 "et s'agrandit" au vers 7 "s'élance autour d'un treillis et circule", et au vers 12 "mêle, dans une immense pâmoison".
Il y a le champs lexical de l'esprit humain au vers 11 "mes sens, mon âme, et ma raison". Verlaine exprime ainsi son sentiment d'être perdu grâce au vers 11 "noyant", et au vers 12, qui peut être approprier au vers 11 ainsi qu'au vers 13.
En conclusion, les 13 vers du poème ne forment véritablement qu'une seule phrase. Celle-ci se compose des mots les plus importants du poème, c'est-à-dire les trois mots personnifiés, ainsi qu'un verbe. La phrase qui résume donc le poème est "l'espérance... mêle... le souvenir avec le crépuscule".