Bonjour j'ai un devoir maison pour lundi prochain en français mais je n'arrive pas à répondre à certaines questions.
Voici le texte :
Monseigneur Yvain cheminait, absorbé dans ses pensées, dans une
forêt profonde, lorsqu’il entendit, au cœur du bois, un cri de dou-
leur perçant. Il se dirigea alors vers l'endroit d'où venait le cri, et
quand il y fut parvenu, il vit, dans une clairière, un lion aux prises avec un
5 serpent qui le tenait par la queue et qui lui brûlait les flancs d’une flamme
ardente ; monseigneur Yvain ne s’attarda guère à regarder ce spectacle extra-
ordinaire. En son for intérieur, il se demanda lequel des deux il aiderait, et
décida de se porter au secours du lion, car on ne peut que chercher à nuire à
un être venimeux et perfide. Or le serpent est venimeux et sa bouche lance
10 des flammes tant il est plein de malignité. C’est pourquoi monseigneur
Yvain décida de s’attaquer à lui en premier et de le tuer.
Il tire son épée et s’avance, l’écu
devant son visage pour se protéger
des flammes que le serpent rejetait par la
15 gueule, une gueule plus large qu’une
marmite. Si ensuite le lion l’attaque,
il ne se dérobera pas. Mais quelles
qu’en soient les conséquences, il veut
d’abord lui venir en aide. Il y est
20 engagé par Pitié qui le prie de porter
secours à la noble bête. Avec son épée
affilée, il se porte à l’attaque du ser-
pent maléfique ; il le tranche jusqu’en
terre et le coupe en deux moitiés. Il
25 frappe tant et plus, et s’acharne telle-
ment qui le découpe et le met en
pièce. Mais il fut obligé de couper un
bout de la queue du lion parce que la
tète du serpent perfide y était accro-
30 chée. Il en trancha donc ce qu’il fal-
lut : il lui était impossible d’en
prendre moins.
Quand il eut délivré le lion, il pensa
que celui-ci viendrait l’assaillir et qu’il allait devoir le combattre. Mais ce ne
35 fut pas dans les intentions de l’animal. Ecoutez ce que fit alors le lion, comme
il se conduisit avec noblesse et générosité. Il commença par montrer qu’il se
rendait à lui, il tendait vers lui ses pattes jointes, et inclinait à terre son visage.
Il se dressait sur ses pattes arrière, et s’agenouillait ensuite, tout en baignant
humblement sa face de larmes. Monseigneur Yvain n’eut pas de doute et
40 comprit que le lion lui manifestait sa reconnaissance et s’humiliait devant lui
pour le remercier d’avoir tué le serpent et de l’avoir sauvé de la mort.
Cette aventure lui fait grand plaisir. Il essuie son épée souillée par le venin
répugnant du serpent et la remet au fourreau avant de reprendre son che-
min. Voici que le lion marche à ses côtés. Jamais plus il ne le quittera, désor-
45 mais il l'accompagnera partout, car il veut le servir et le protéger.
Etude du texte :
question question 1 : Dans quel passage le narrateur donne-t-il des explications sur ce choix ? Indiquez le numéro des lignes.
2 : Récrivez le dernier paragraphe en remplaçant les pronoms personnels par les noms par les mots qui conviennent.
question 3 : Le <> est l'intervention de moyen et d'être surnaturels dans une oeuvre littéraire. Donnez deux exemples qui permettent de qualifié ce récit de merveilleux.
Voilà j'ai essayer de vous donnez toutes les informations, maintenant j'espère que vous pourrez m'aidez.
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d’abord lui venir en aide"
l.26/30 Je cite : "Mais il fut obligé de couper un
bout de la queue du lion parce que la
tète du serpent perfide y était accrochée"
3) Exemple ligne 35/36 : Ecoutez ce que fit alors le lion, comme
il se conduisit avec noblesse et générosité.
ligne 9/10 : Or le serpent est venimeux et sa bouche lance
10 des flammes tant il est plein de malignité.